Nationaliste Social et Ethniciste

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Apéro de la Goutte d'or: France Info ment, France Info est-il musulman?

 

L'offensive liberticide, déjà dénoncée lors de la condamnation de Brice Hortefeux, se poursuit méthodiquement. Depuis longtemps déjà, des musulmans occupent illégalement certaines rues du quartier de la Goutte d'or, chaque vendredi, pour la prière. La rue Myrha est le plus emblématique de ces territoires perdus de la République. Perdus, faut-il le dire, avec la bénédiction des autorités, mairie du XVIII° arrondissement et préfecture de police. En effet, il semble que la police nationale, chargée de faire respecter l'ordre républicain (du moins en théorie), se contente de veiller à ce que le « service d'ordre » musulman ne soit pas troublé dans sa tâche qui est... de bloquer la circulation! Priorité à Allah. C'est cela sans doute la « laïcité positive ».

 

Afin de protester contre cette confiscation despotique de l'espace public par des intégristes, une habitante du quartier a lancé sur Facebook l'idée d'un apéro « saucisson-pinard » le vendredi 18 juin, jour anniversaire de l'appel du général de Gaulle. Le rassemblement a été interdit par la préfecture. Il est intéressant d'analyser la façon dont l'événement a été traité dans les médias ainsi que la signification de l'interdiction et les arguments utilisés pour la justifier.


La « déontologie » exemplaire des journalistes

Un matin sur France Info, j'entends parler de cet apéro saucisson-pinard à la Goutte d'or. J'étais déjà au courant, ayant lu l'annonce de cette action sur le site de Riposte Laïque. Et je fus frappé par le traitement de l'information: « un apéro saucisson-pinard est prévu pour le 18 juin à la Goutte d'or afin de dénoncer l'islamisation du quartier. A l'origine du projet, on trouve des associations d'extrême droite. La polémique enfle ». Je ne puis garantir l'exacte authenticité des propos mais l'essentiel y est. Cette présentation des faits fut, à peu de chose prêt, reprise par France 2 et France 3 dans leurs éditions du soir. Beaucoup d'autres médias firent de même. Cette attitude des journalistes appelle certaines questions sur l'honnêteté des rédactions. On peut constater que les journalistes sont très forts pour vanter leur « déontologie », faire l'éloge de leur métier et se tresser des lauriers. France 3 est très en pointe pour cela en ce moment, l'apologie de l'honnêteté et du courage journalistiques prétextant la captivité, certes regrettable, de Messieurs Ghesquière et Taponier en Afghanistan pour s'étaler plusieurs fois par semaine à l'antenne. L'exemple de probité donné pour l'un des deux captifs est d'ailleurs significatif: il avait couvert dans les années 90 la prise d'une ville croate par les miliciens serbes, qui avaient massacré une partie de la population. Mais ce que le reportage élogieux ne dit pas, c'est si le journaliste avait eu l'honnêteté de préciser que les nationalistes croates alors au pouvoir venaient de reprendre l'emblème des Oustachis pro-nazis de sinistre mémoire... Ainsi, le fait d'avoir participé à la campagne de diabolisation systématique du peuple serbe passe aujourd'hui pour de l'honnêteté! Je constate d'ailleurs que très peu de reportages évoquent à l'heure actuelle les dizaines de milliers de Serbes chassés de la Krajina par les Croates dans les années 90 et du Kosovo plus récemment. L'humanisme et la compassion journalistiques sont étrangement sélectifs.

 

Dans cette affaire de l'apéro de la Goutte d'or, on peut se demander si les journalistes ont voulu informer ou bien faire campagne pour l'interdiction du rassemblement. Reprenons en détail le traitement de l'affaire. D'abord l'usage du terme « islamisation » est problématique. On peut en effet penser que le rassemblement dénonce l'installation de musulmans dans le quartier. Comme les musulmans sont majoritairement d'origine étrangère, ça sent le relent xénophobe (et non pas raciste, l'islam n'étant pas une race). Seulement la plupart des médias ont omis d'évoquer (ou l'ont fait de manière étonnamment rapide et discrète) un point important: l'occupation de certaines rues du quartier tous les vendredis par des musulmans en train de prier. Or cette confiscation de l'espace public par un groupe religieux n'est pas nouvelle. Riposte Laïque la dénonce avec véhémence depuis des mois. L'historien et universitaire Daniel Lefeuvre l'avait également évoquée lors d'une émission C dans l'air sur France 5, car il réside dans le quartier. Tous ces faits sont visibles et connus, mais n'ont fait l'objet d'aucun reportage. C'est cela la déontologie journalistique? De qui se moque-t-on? Non seulement ces faits graves n'ont jamais été relevés (ou bien très rarement, alors qu'on sait si bien polémiquer des semaines entières pour un rien) par les grands médias, mais certains d'entre eux réussissent le tour de force d'évoquer l'apéro saucisson-pinard sans dire un mot des prières qui bloquent la circulation!

 

Ensuite il y a la fameuse question, que dis-je, l'hypothèque, l'ombre menaçante de l'extrême-droite. Là encore, l'honnêteté des journalistes est admirable. Plusieurs médias ont clairement attribué l'idée de l'apéro à la mouvance d'extrême droite. Or il semble bien que ce soit faux. L'idée a été lancée sur Facebook par une habitante du quartier, Sylvie François. Ensuite, diverses associations ont apporté leur soutien au projet. Riposte Laïque a fourni la liste des associations ayant adhéré au projet. On y trouve en effet le Bloc identitaire, habituellement classé à l'extrême droite. Qui sont les identitaires? Un jeune parti qui prône des idées régionalistes et européistes, hostiles à l'immigration et à l'islam. Ce sont paraît-il des « ethno-différentialistes », qui défendent, pour faire simple, le « chacun chez soi »: les Arabes dans les pays arabes, les Subsahariens en Afrique noire, les blancs en Europe. Officiellement, leur parti rejette toute hiérarchie raciale. Bon, si on creusait chez certains militants, je pense qu'on trouverait des préjugés racistes, mais c'est vrai dans bien d'autres partis, y compris les plus inattendus. On serait surpris d'entendre les réflexions de bien des militants socialistes du sud de la France... Je suis en désaccord avec les idées identitaires car je suis nationaliste français, je défends la République et l'unité nationale. Je n'apprécie ni l'Europe ni le régionalisme (politique s'entend). Pour autant, est-il démocratique d'interdire au Bloc identitaire d'exprimer ses opinions à partir du moment où il respecte la législation en vigueur? La mauvaise réputation du Bloc provient de l'attentat raté de Maxime Brunerie contre Jacques Chirac alors président. Maxime Brunerie était plus où moins proche d'Unité radicale, mouvement précurseur du Bloc identitaire. Le lobby antiraciste tire prétexte de cet événement pour faire des identitaires des terroristes en puissance. Mais il oublie de dire que jamais Unité radicale n'a appelé à tirer sur le Président. Quant au Bloc, il s'est fait connaître par diverses actions, contestables peut-être, mais nullement illégales ou violentes, sans quoi il aurait été interdit ce qui est normal. Les bagarres qui lui sont imputées sont-elles de son fait ou causées par les gauchistes qui usent et abusent de l' « antifascisme » pour justifier leur propre violence? Seulement les gauchistes bénéficient de la bienveillance de la gauche bien-pensante et des autorités, alors même que le gouvernement est de droite (il y a là un paradoxe à éclaircir). Pourquoi l'extrême droite serait-elle plus dangereuse que l'extrême gauche? Parce que Jean-Marie Le Pen est moins sympathique qu'Olivier Besancenot? Il fut un temps pourtant où Alain Krivine tenait meeting en martiale compagnie...

 

Avec le Bloc identitaire, d'autres associations plus ou moins proches de l'extrême droite identitaire ont soutenu l'apéro: Bivouac-ID, Novopress ou encore le blog François De Souche. Ce dernier propose des informations concernant exclusivement les méfaits de l'immigration. Le problème est moins que François De Souche soit extrémiste que le fait que les informations qu'il relaie soient bien souvent exactes... Cela étant, le choix d'un sujet exclusif est contestable, l'immigration ou l'islamisation n'étant que des aspects d'un problème plus vaste (mondialisation, idéologie multiculturelle, affaiblissement des nations), ce qui ne signifie pas qu'il ne faut pas traiter ces aspects du problème. Il est donc clair que des mouvements d'extrême droite se sont associés à l'apéro. Soit, mais plusieurs médias ont délibérément « oublié » de spécifier que les identitaires n'étaient pas seuls à soutenir la démarche: des associations gaullistes (l'Union gaulliste), républicaines (Résistance républicaine, présidée par une ancienne militante de Debout la République, et collaboratrice régulière de Riposte Laïque), athées (Union des athées) et laïques (Riposte Laïque). Enfin, il faut à présent parler d' « ultralaïcs » pour désigner les laïcs qui s'en prennent à l'islam. Les « vrais » laïcs se contentent d'attaquer l'Église catholique, dont on sait qu'elle représente un terrible danger de nos jours, il suffit de voir la moyenne d'âge dans les églises... Sur ces mouvements qui ne sont pas d'extrême droite, pas un mot ou presque. Où est l'honnêteté journalistique? On n'apprend pas l'art de la nuance dans les écoles de journalisme? Les médias ont aussi négligé de préciser que pour un certain nombre d'associations, il s'agissait également de commémorer l'Appel du 18 juin, en dénonçant les inacceptables atteintes à la liberté et aux valeurs républicaines que sont les prières musulmanes sur la voie publique. Sur France 2 et France 3, j'ai vu des témoignages de gens condamnant l'apéro, M. Sopo de SOS-Racisme et une dame de la mairie du XVIII° arrondissement plaignant ces pauvres gens qui ont des mosquées trop petites, alors qu'il semble que certains viennent d'autres secteurs de la région francilienne. Mais de partisans de l'apéro controversé, nulle trace. Quelle impartialité!

 

Ensuite, les médias ont fustigé cet apéro présenté comme une « provocation ». Certes, c'en était une, et alors? C'est de bonne guerre. Les prières qui bloquent les rues depuis des mois, ce n'est pas une provocation, sans doute? Ce polygame intégriste qui arnaque les allocations familiales à Nantes, ce n'est pas de la provoc' peut-être? Ces Algériens ou Français d'origine algérienne qui insultent régulièrement notre drapeau, ce n'est pas de la provocation non plus. Alors, qui porte la véritable responsabilité du climat délétère et intolérant qui s'installe en France? Qui pousse le plus loin la provocation? Quant à la question du « saucisson-pinard », à partir du moment où certaines boucheries, épiceries voire enseignes de restauration rapide imposent de la bidoche 100 % hallal, je ne vois pas au nom de quoi il y aurait le moindre scrupule à proposer un casse-croûte 100 % cochon. Qui a commencé à imposer son communautarisme alimentaire? Les mangeurs de hallal, autrement dit les musulmans. Toujours eux, décidément... S'ils refusaient de s'intégrer et s'ils cherchaient à se faire détester, je crois qu'ils ne s'y prendraient pas autrement.

 

En présentant sa défense sur son site, Riposte Laïque a eu l'habileté de présenter la liste des associations qui ont condamné l'apéro saucisson-pinard (1). Et à côté de SOS-Racisme, du MRAP, de la LICRA et du CRAN, que trouve-t-on? Des gens bien comme il faut: l'Action française, oumma.com, un site musulman sympathique ou encore la Nouvelle Droite Populaire, mouvement classé par certains à l'extrême droite. Beaucoup de partis politiques (UMP, NPA, Front de gauche) sont du même avis. Mais alors... Horreur! Tous ces mouvements seraient fascistes puisqu'ils sont de l'avis des héritiers de Charles Maurras! Cette remarque prêterait à sourire si les attaques violentes contre Riposte Laïque n'utilisaient pas ce procédé. Il est vrai que Riposte Laïque a souvent la dent dure, n'hésite pas à invectiver parfois ces adversaires (sans doute par lassitude de recevoir des flots d'injures) et adopte des positions contestables, comme sur la brutalité israélienne ou sur le danger représenté par d'autres religions, tels que les sectes, les mouvements évangéliques ou le judaïsme orthodoxe qui marque discrètement des points en Israël mais aussi chez les Français de confession juive. Pour autant, Riposte Laïque n'est pas d'extrême droite pour une raison très simple: ses membres sont attachés à une République démocratique. Ajoutons que la laïcité est loin de faire l'unanimité à l'extrême droite parce que précisément c'est un point important de l'idéologie de la République, la « Gueuse » que nombre de courants d'extrême droite exècrent. D'une manière général, la bien-pensance de gauche pratique la diabolisation à outrance pour poser des tabous sur les questions qui ne souffrent pas débat selon elle: immigration, multiculturalisme, construction européenne par exemple. Si l'on n'est pas d'accord, alors on est nécessairement « fasciste ». Comment débattre dans ces conditions? J'accepterais volontiers de discuter avec des « gens de gauche » si j'étais sûr de ne pas être interrompu par des injures hystériques me reléguant au rang de raciste xénophobe. Aujourd'hui, les expressions « extrême droite », « fascistes » ou « néo-nazis » sont des armes antidémocratiques visant à faire taire l'adversaire. Il s'agit de « tuer » symboliquement et politiquement son contradicteur en l'excluant de l'arène démocratique. A partir de ce moment, on justifie l'absence de débat (« on ne débat pas avec des fascistes! ») voire les menaces adressées à l'adversaire pour qu'il se taise, procédé très démocratique, soit dit en passant. Pas étonnant qu'à gauche beaucoup soient convaincus d'avoir raison: ils ne débattent plus avec grand monde...

 

L'accusation d'être « raciste » ou d' « extrême droite » (termes synonymes selon le théorème dit « de SOS-Racisme », ce qui prouve la méconnaissance de la diversité des courants d'extrême droite) est bien commode: elle discrédite à peu de frais les idées de l'adversaire (même si ces dernières sont sensées!), elle le blesse profondément ce qui peut le conduire à adopter une attitude agressive (preuve de son extrémisme!) ou à se perdre dans des justifications maladroites. Certains, écœurés ou trop déstabilisés, se taisent, ce qui est l'objectif recherché. Dans tous les cas, les « démocrates antifascistes » sont gagnants sur toute la ligne: ils prennent peu de risque et n'ont nul besoin d'aborder un débat de fond, puisque le débat politique se mue en guerre du Bien contre le Mal. Ajoutons pour finir que la gauche et l'extrême gauche se partagent les tâches: à la première les discours vertueux et pseudo-humanistes sur les plateaux télé et dans les médias en général, à charge pour la seconde d'organiser les « contre-manifestations », les chahuts, les provocations voire les violences à l'égard des « fascistes » désignés. Les troupes de choc du NPA, des anarchistes ou du syndicat SUD exécutent volontiers cette basse besogne. Empêcher les autres de s'exprimer, il faut qu'on m'explique en quoi cela est démocratique... Reste une question: comment expliquer la passivité de la droite? Je dirais que ces questions sont très secondaires pour les libéraux de droite, et au fond, ils ne sont pas mécontents que ces problèmes occupent la gauche, l'extrême gauche et l'extrême droite, et même l'opinion en général. Pendant ce temps-là, l'État républicain est démantelé, la loi des marchés et des spéculateurs imposée sans entrave. La société divisée sur ces questions offrira moins de résistance aux politiques antisociales qui chaque jour installent un peu plus un capitalisme sauvage à l'anglo-saxonne dans notre pays. Toutefois, la droite libérale doit se méfier: ce type de débat profite à l'extrême droite, et si les questions d'immigration et d'islam sont assez peu importantes pour les libéraux (seul compte le profit), elles le sont pour une bonne partie de l'électorat conservateur de droite. Ce qui peut expliquer certaines « sorties » de députés UMP au moment opportun, sur la question du voile intégral par exemple.


Une nouvelle victoire des néo-racistes

L'interdiction de l'apéro, faisant suite à la condamnation de M. Hortefeux, qui n'a pas démissionné mais qui a de fait perdu sa crédibilité et sa liberté de parole (il est d'ailleurs très discret depuis quelque temps...), est un signal néfaste envoyé aux Français natifs ou aux Français d'origine étrangère pleinement intégrés. Il ne fait pas bon manifester son attachement à la France et à sa culture par les temps qui courent. C'est ringard, mais ce n'est pas seulement ridicule, c'est dangereux: aimer la France conduit naturellement à s'acoquiner avec l'extrême droite et à se métamorphoser en fascisto-racisto-xénophobe. Il est interdit de critiquer les minorités. La lèse-minorité est définitivement considérée comme un crime par les autorités, en particulier judiciaires. Alors même que le hallal connaît un extraordinaire développement, parfois au mépris de la liberté de choisir son alimentation, il est désormais interdit de proposer du cochon dans une manifestation! C'est devenu discriminatoire!

 

C'est une nouvelle victoire des néo-racistes du MRAP et du CRAN qui affichent leur soutien à l'islam et à la société « multiculturelle », ce qui n'est guère étonnant. Plus surprenant est la prise de position de SOS-Racisme. De toutes les associations antiracistes, SOS-Racisme était la plus raisonnable, la seule possédant encore la volonté républicaine de dénoncer le racisme et le communautarisme anti-républicain. Ce temps est désormais bien révolu. SOS-Racisme devait se sentir un peu seul tandis que les communautaristes et néo-racistes du MRAP et du CRAN (sans même parler des Indignes de la République) surfent sur la haine anti-française des populations immigrées ou issus de l'immigration et sur l'opposition à l'interdiction du voile intégral, symbole du refus des valeurs républicaines. Pour continuer à exister, SOS-Racisme, sous la direction de Dominique Sopo, a donc opéré un regrettable tournant stratégique et s'est joint à la meute néo-raciste. Opportunisme quand tu nous tiens! Les associations antiracistes terminent progressivement leur conversion en groupes néo-racistes.

 

Passons sur les arguments grotesques et la mauvaise foi manifeste de M. Sopo: il a ainsi prétendu que dans le mot saucisson, il y avait deux « s » et que donc ça faisait penser aux SS de sinistres mémoire. Sans commentaire... Évidemment, le porc est dénoncé mais on entend moins SOS-Racisme s'attaquer à l'alimentation hallal (c'est la diversité!). De même, l'apéro est évidemment vilipendé comme une « provocation raciste » mais M. Sopo est moins disert sur la confiscation autoritaire de l'espace public par les musulmans d'Île-de-France. Rappelons encore une fois que l'islam n'est pas une race.

 

Que dire des arguments invoqués par la préfecture pour interdire l'apéro? On n'a pas osé invoqué l'aspect « discriminatoire » du cochon mais la préfecture a craint des troubles à l'ordre public. Pensez! Organiser un apéro saucisson-pinard entre les prières du vendredi et le match Algérie-Angleterre! Quelle provocation! On voit bien qui fait la loi, qui tient la rue. Et certaines personnes haut placées n'ont pas envie que cela change apparemment... Fermer les yeux devant les blocages hebdomadaires de rue et refuser une manifestation dont les organisateurs ont demandé légalement l'autorisation, c'est injuste et scandaleux.

 

Aujourd'hui, que reste-t-il de notre République? Pas grand chose, hélas. Elle part en lambeau. Des dirigeants irresponsables et des traîtres magistrats donnent de fait le pouvoir aux minorités ethniques. L'égalité est foulée aux pieds chaque jour. Nous voyons bien dans nos classes l'arrogance croissante des élèves issus de l'immigration qui bien souvent vomissent la France et traitent leur pays d'accueil avec un mépris inadmissible. M. de Villepin, le « Beau Dominique », ne s'y est pas trompé: l'hypothétique candidat aux présidentielles de 2012 soigne son image auprès des communautés maghrébines et subsahariennes. Ainsi, il est allé draguer honteusement la « banlieue » espérant trouver là l'électorat qui votera pour lui par haine de Sarkozy et par dépit vis-à-vis de la gauche. On va en voir de plus en plus des politiques en mal de notoriété aller « faire le tapin » dans les quartiers de délinquants et d'intégristes. Pendant ce temps, les classes moyenne sont priées de renoncer à leurs soi-disant « privilèges »: la retraite à 60 ans, la sécurité de l'emploi pour les fonctionnaires,... Et nous devrions accepter tout cela sans réagir? Jamais!


Conclusion

Le lobby antiraciste s'est mué en cabale néo-raciste. En réussissant à faire interdire l'apéro saucisson-pinard de la Goutte d'or, les néo-racistes ont montré leur force et leur volonté d'en finir avec une certaine France. Appuyés par leurs amis de gauche (apparemment nombreux dans la magistrature), ils espèrent détruire les traditions françaises, les valeurs de la République (les deux étant liées, quoi qu'on en dise). Ils ont commencé par la liberté et l'égalité: les rappeurs, les islamistes, les voyous ont tous les droits, insulter, caillasser, incendier et défier la République. Les « sales blancs », eux, sont priés de se taire et de dire merci. S'ils font mine de s'indigner, ils sont « racistes » et contraints au silence par l'intimidation et la menace. Les gens issus des minorités crachent sur la France en toute impunité. Les « sales blancs », eux, sont mis à l'amende pour la moindre remarque critique envers les sacro-saintes minorités ethniques ou les musulmans.

 

Je le dis à nouveau, calmement mais fermement: tout cela ne durera qu'un temps. Nous ne serions pas français si nous nous laissions faire. Les défenseurs de la France et de la République ont perdu une bataille, il faut le reconnaître. Nos ennemis sont puissants. Nous perdrons sans doute d'autres batailles. Mais la lutte ne fait que commencer.


(1) http://www.enquete-debat.fr/archives/apero-de-la-goutte-dor-les-organisations-qui-condamnent/



19/06/2010
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