Nationaliste Social et Ethniciste

Nationaliste Social et Ethniciste

Lutte contre l'homophobie ou prosélytisme homosexuel?

Une fois n'est pas coutume, cet article sera consacré à un « fait de société », comme on dit : l'homosexualité. Une récente polémique est née après que le ministre de l'Education nationale, Luc Châtel, se soit interrogé sur la pertinence d'un film destiné aux élèves de primaire. L'œuvre, en préparation dans l'académie de Rennes, raconterait une histoire d'amour unissant deux poissons de sexe masculin. Prendre le prétexte d'un conte pour faire passer un message idéologique prouve le degré remarquable de perversité atteint par les soldats du politiquement correct. Les dessins animés qu'on regarde habituellement à cet âge n'ont pas pour but d'endoctriner (à moins de considérer que la « Belle au bois dormant » est une œuvre monarchiste, ou « Cendrillon » un récit à la gloire des prolétaires de la domesticité…).

 

Critique de l'homosexualité

Je sais à quel point une telle entreprise est risquée dans notre monde où la dictature de la bien-pensance impose à tout un chacun d'approuver toutes les opinions, toutes les options et d'adopter le relativisme le plus total. A tel point qu'on pourrait presque se demander s'il est permis, de nos jours, de penser. On se doit de tout aimer, tout respecter, voire tout vénérer. Le « Trésor de l'Humanité » qu'est la communauté homosexuelle bénéficie largement de cette tolérance consensuelle qui s'appuie sur le mythe de l'émancipation universelle et surtout l'interdiction de juger le comportement d'autrui, car, comme chacun sait, autrui est notre égal. Si en plus autrui est gay, alors là, il est un égal très estimable voire supérieur. Il ne m'étonnerait pas que des scientifiques américains (l'antithèse est osée) démontrent d'ici quelques années que l'homosexualité est excellente pour l'organisme, prévient les maladies cardio-vasculaires, le cancer de la rate et les cors aux pieds. A présent, redevenons sérieux et mettons fin à cette mystification affabulatrice.

 

En premier lieu, j'évoquerai le culte de la différence qui profite également, disons-le sans détours, à tous les minoritaires soi-disant persécutés par la société française. Il m'apparaît tout à fait remarquable et assez extraordinaire que cet engouement pour la différence, cette fantastique vénération pour l'altérité, soient utilisés pour défendre un groupe qui ne conçoit pas que l'amour puisse naître de la première des différences, la différence fondamentale au sein de l'espèce humaine : la différence homme-femme. L'Autre, avant d'être l'Etranger, l'Apatride ou le Gay, c'est d'abord l'être humain de l'autre sexe. Chacun d'entre nous, même si cela commence à changer dans ce merveilleux laboratoire que sont les Etats-Unis d'Amérique, a (ou disons « avait ») deux parents, un père et une mère. Je ne doute pas que certains le regrettent mais c'est ainsi, il y a deux sexes sur terre, le sexe masculin et le sexe féminin. Or, l'amour comme la procréation, sont liés intimement à l'union de ces différences. Aimer une personne du sexe opposé, c'est le premier pas vers l'ouverture à l'altérité, non ? La connaissance de l'Autre permet qui plus est de mieux se connaître soi-même, de mieux se définir par rapport à l'autre. Les homosexuels sont aux antipodes de cette logique qui cadre pourtant fort bien avec le culte de la différence ! Finalement, ils nient le fait que l'amour provienne de la différence, cette différence qu'ils louent tant quand il s'agit pour eux de se faire reconnaître par la société. De ce fait, beaucoup d'homosexuels sont confrontés à un problème de taille : dans toute relation amoureuse, ils auront toujours du mal à découvrir l'altérité chez leur partenaire. Toute sa vie, l'homosexuel se retrouvera en face d'un autre lui-même, lui renvoyant inéluctablement sa propre image. Cela engendre sans aucun doute, mais bien sûr à des degrés divers selon les individus et leur tempérament propre, des frustrations et des interrogations identitaires bien compréhensibles. D'ailleurs, le phénomène de travestissement qu'on observe chez certains homosexuels n'est-il pas une tentative, toujours imparfaite et bancale, de recréer cette altérité qui fait tant défaut à la relation homosexuelle ? Ceci est surtout valable pour l'homosexualité masculine, qui est très largement la forme dominante de ces types de comportement.

 

J'ai également parlé de frustration. Ceci explique le mode de vie de beaucoup d'homosexuels. Des reportages trompeurs réalisés par les média télévisés véhiculent une image assez fausse des gays en nous faisant croire qu'une bonne partie d'entre eux vivent sereinement une vie de couple sans histoires comme le commun des hétérosexuels (voire au contraire des couples hétérosexuels dont la stabilité décline). C'est totalement faux. Bien sûr, ces gens existent, et ce sont ceux-là mêmes qui réclament à grands cris la possibilité de se marier et d'adopter. Mais ils ne représentent pas, loin s'en faut, la totalité de la communauté homosexuelle. En fait, des reportages plus pertinents le montrent parfois, beaucoup d'homos ont une vie affective tout à fait misérable, d'une grande instabilité, passant d'un partenaire à l'autre, juste à la recherche d'une aventure pour un soir, au hasard d'une rencontre dans un bar du quartier gay de Paris (il paraît qu'il y en a un) par exemple. Ces gens sont-ils heureux ? Difficile à dire. Nul doute que beaucoup s'accommodent de ce genre de vie. D'autres peut-être n'avouent pas qu'ils s'y résignent. Toujours est-il que ce mode de vie n'engendre pas vraiment une vie équilibrée. C'est même un terreau d'immoralité, à tel point que certains de ces homosexuels, paraît-il, renoncent même à utiliser le préservatif pour se protéger du sida. Quand on est vraiment heureux, il est rare qu'on méprise sa propre vie au point de la mettre en danger d'une façon aussi stupide et aussi irresponsable.

 

Il ne s'agit nullement de diaboliser les homosexuels ou d'idéaliser les hétérosexuels, mais simplement d'observer que les gays ne sont pas des gens doués de qualités particulières : il y a parmi eux la même proportion de mauvaises gens, de menteurs, de malhonnêtes et d'infidèles que chez les hétérosexuels.

 

Image et histoire de l'homosexualité

Après des siècles de dénonciation virulente et d'intolérance parfois violente (des homosexuels furent tout de même expédiés en camp de concentration), notre société moderne est tombée dans l'excès inverse (pour se racheter ? par esprit de repentance ? c'est à la mode, il est vrai) : le tapis rouge est déroulée devant l'homosexualité à toute occasion. Persécution d'antan vaut lettre de noblesse et brevet de  morale. Mais on voit bien que de nouveaux censeurs, plus subtils, ont en réalité pris la place des anciens.

 

Une image moderne, fun, des homosexuels est colportée par des rassemblements du type gay pride. Les homos seraient finalement de sympathiques libertaires, gentiment provocateurs, plutôt marqués à gauche, somme toute des soixante-huitards bon enfant qui votent Besancenot ou écolo. Cette image a certainement un fond de réalité mais elle occulte un nombre considérable d'homosexuels, qui ceux-là sont nettement marqués à droite et bien souvent à l'extrême droite. On croit généralement que l'homophobie fait partie de la panoplie du parfait fasciste. Il y a du vrai : les catholiques traditionalistes condamnent l'homosexualité car c'est un comportement jugé contre-nature par la Bible, Mussolini aimait à affirmer sa virilité latine par ses innombrables conquêtes féminines, et comme susdit, les nazis envoyèrent dans les camps des homosexuels (en vertu d'une loi antérieure au III° Reich, soulignons-le). Oui, bien sûr. Oui, mais, c'est oublier un peu vite qu'Ernst Röhm, chef des SA, était un homosexuel notoire. C'est oublier que son état-major était peuplé de compagnons partageant son penchant (et son lit parfois), et que lors de la Nuit des Longs couteaux, Röhm et ses camarades furent surpris au sortir d'ébats homosexuels ! C'est oublier que les amours grecques étaient florissantes dans les cohortes de la très virile SS. C'est oublier surtout que l'homosexualité se répand avant tout dans des milieux très masculins, très machistes aussi, où le mépris de la femme, le « sexe faible », se mêle à la glorification de la virilité, à l'apologie du mâle, qui, si elles sont excessives, débouchent sur… l'homosexualité ! Quels sont les milieux en question ? Essentiellement l'extrême droite déjà citée et l'armée, deux milieux longtemps liés. Ce fait n'est pas ignoré : dans le film Colonel Redl, l'homosexualité de certains officiers de la très catholique monarchie austro-hongroise est clairement évoquée (on parle d' « invertis »). De même, dans le classique français Les tontons flingueurs, n'a-t-on pas l'image même de l'ancien SS homosexuel ? Sans doute est-ce là une caricature mais l'ami Fritz n'en demeure pas moins un exemple éloquent. Aussi, certains groupes féministes feraient bien d'y regarder à deux fois avant de s'acoquiner avec la « cause » homosexuelle. Evidemment, loin de moi l'idée de conclure que tous les militaires ou tous les militants d'extrême droite sont gays. En fait, paradoxalement, c'est dans ces milieux qu'on trouve proportionnellement le plus d'homosexuels et le plus d'homophobes.

 

Les homosexuels invoquent parfois comme argument l'ancienneté de leurs pratiques. Certes, on ne niera pas qu'il y a toujours eu des homosexuels mais de là à en faire un argument recevable ! Il est vrai que l'antiquité grecque, et moins l'antiquité latine, faisait preuve d'une certaine tolérance à l'encontre de l'homosexualité. Il faut cependant rappeler que cette tolérance ne faisait pas toujours l'unanimité : « Il y avait parmi eux [les nobles macédoniens de la Cour de Philippe II] des hommes qui, malgré leur sexe, passaient leur temps à se faire raser et lisser la peau, d'autres qui, restés barbus, se livraient entre eux à des ébats lubriques. Ils étaient accompagnés de deux ou trois mignons et faisaient eux-mêmes fonction de mignons auprès de tel ou tel autre. C'est donc à bon droit qu'on aurait pu dire d'eux qu'ils étaient, non pas des compagnons mais des courtisanes, non pas des soldats mais des putains. » (Polybe, Histoire, VIII, 9, 9-11). Ces propos que rapporte Polybe de Megalopolis, et dont il dénonce la véhémence, sont ceux d'un historien grec, Théopompos de Chios, historien du IV° siècle avant notre ère. Même Platon se montre critique et condamne les « amours contre-nature » pratiquées à Sparte et en Crête (Lois, I, 636b-c et VIII, 836b). Quoi qu'il en soit, la pédérastie avait effectivement cours chez les anciens Grecs. J'en profite pour rappeler que la société des Hellènes était profondément machiste, militarisée et étrangère à toute idée de parité homme-femme. Globalement il s'agissait d'une société relativement misogyne. Il me semble qu'on ne souligne pas suffisamment le caractère malsain de la pédérastie qui s'apparentait volontiers à de la pédophilie (paidé, qu'on retrouve dans « pédéraste » comme dans « pédophile » désigne d'ailleurs l'enfant et non point l'adolescent, neaniskoi ou meirakion dans ce cas). En effet, cette relation unissait un homme adulte, l'éraste, à un plus jeune, l'éromène, souvent un adolescent de treize ou quatorze ans, quelquefois plus jeune encore bien que ce fût apparemment défendu. Cependant, la chose vire parfois au détournement de mineur pur et simple : ainsi Démétrios Poliorcète (« preneur de ville »), roi hellénistique, tente d'abuser du jeune Démoclès, « un jeune garçon qui n'avait pas encore atteint la puberté » et qui n'éprouvait que dégoût pour de telles pratiques au point de fuir les gymnases et les palestres (Plutarque, Vie de Démétrios, XXIV, 2-5). Combien de Démoclès inconnus dans la Grèce antique ? Alors bien sûr, la pédérastie s'est toujours enveloppée, surtout à Sparte, du voile respectable de la relation maître-élève, lien presque filial, dominé idéalement par un amour pur et désintéressé. Ben voyons ! Si le terme « pédé » est synonyme d'homosexuel, c'est bien que l'histoire a retenu l'aspect sexuel de ces si respectables relations. Précisons toutefois que ces Grecs entretenaient le plus souvent en parallèle des rapports hétérosexuels. On ne saurait donc parler d'homosexualité exclusive, contrairement à aujourd'hui, encore que la bisexualité soit tendance ces derniers temps (Carla Bruni fut une bisexuelle assumée, et j'emploie la passé simple par respect pour notre président). Pour expliquer que la pédérastie se soit perpétuée, il suffit de dire qu'il s'agit de la reproduction d'un comportement vécu et qui plus est accepté (voire encouragé) par la société. Ne voit-on pas la même chose à chaque procès de pédophilie ? Combien de pédophiles n'ont-ils pas avoué avoir eux-mêmes subis des sévices sexuels dans leur enfance ? Quant aux Romains, ils ont manifestement subi l'influence hellénique. Cependant, comme ils ne se sont jamais départis d'un certain mépris pour les Graeculi (les « petits Grecs » mot-à-mot, mais qu'on pourrait traduire par « tapettes » si l'on retient la connotation péjorative), ils ont toujours considéré qu'il était honteux pour un homme, libre s'entend, de subir « ce que l'on fait subir aux femmes ». Au temps de Cicéron, « inverti » était une insulte correspondant au « pédé » contemporain (Plutarque, Vie de Cicéron, VII, 7-8). Le fait que l'homosexualité soit un comportement très ancien ne rend en rien ce comportement plus respectable.

 

Enfin, et c'est le dernier argument fréquemment invoqué par la communauté homosexuelle, leur orientation sexuelle est naturelle. Je suis désolé pour eux, mais on n'a pas encore trouvé le gène de l'homosexualité. Je soutiens que cette dernière n'a rien de naturel ou de génétique, elle est un pur produit culturel. Je ne dis pas que l'acquisition de l'identité sexuelle est chose simple : il y a, au moment de l'adolescence, une période d'ambiguïté, plus ou moins forte selon les individus. Logiquement, le poids culturel et l'exemple paternel doivent jouer dans le sens de l'hétérosexualité qui a, elle aussi, une dimension culturelle indéniable. C'est d'ailleurs cette pression sociale contraire qui plonge souvent dans l'affliction les jeunes homosexuels.

 

Prenons à présent l'exemple du showbiz, le dérèglement des mœurs est une tradition, un marqueur social pour ce type de milieu. De tout temps d'ailleurs, l'homosexualité s'est volontiers teintée d'élitisme : pédérastie liée à la sociabilité aristocratique chez les anciens Grecs, amitiés particulières dans les castes militaires japonaises par exemple. Mishima Yukio, écrivain nippon nostalgique du temps des samouraï et auteur d'un seppuku d'une remarquable qualité le 25 novembre 1970, proclamait haut et fort son homosexualité : « c'est chez nous une pratique plus ancienne et plus naturelle que l'amour entre les deux sexes ». Dommage pour Act up que ces paroles soient celles d'un militant ultra-nationaliste et belliciste… On ne m'ôtera pas non plus l'idée qu'il y a à notre époque un effet de mode : l'homosexualité est très tendance par les temps qui courent. Mais peut-être faut-il également s'interroger sur le possible désarroi d'une frange de la population masculine, ébranlée par l'émancipation de la femme en Occident, les progrès de la parité et la remise en cause de la figure et de l'autorité du père dans notre société moderne. Quoi qu'il en soit, si cinq cent millions d'années de reproduction sexuée ne témoignent pas suffisamment de ce qu'est la norme, c'est à désespérer du bon sens des êtres humains. J'ajouterai toutefois que des études scientifiques menées par des chercheurs nullement préoccupés d'homophobie ont montré que les femmes sécrètent des substances chimiques censées attirer les hommes, ce qui est une chose courante chez les mammifères et autres créatures.

 

Les homosexuels apprécient-ils tant que cela les hétérosexuels ? La situation pour ces derniers pourrait devenir difficile. Le processus de victimisation est enclenché et on ne l'arrêtera plus. Nouveau cheval de bataille des partisans de la cause gay (on dira désormais la Cause, tant ce mot force le respect), la question du suicide : « un jeune homosexuel a vingt fois plus de risque de se suicider qu'un jeune hétérosexuel ». Et pourquoi ? Mais parce qu'évidemment le malheureux est choqué par l'hétérosexualité ambiante. Il se sent odieusement persécuté par le penchant naturel de la grande majorité des gens. L'hétérosexualité triomphante est une épine dans le pied de la communauté gay. Afficher son hétérosexualité relèvera bientôt de l'homophobie ! De l'hérésie ! Du crime de lèse-majesté, voire d'immoralité ! Et on en arrivera à ce paradoxe que la majorité hétérosexuelle se cachera pour ne pas alimenter la désespérance de la minorité homosexuelle. La dictature de la minorité, n'est-ce pas aussi du totalitarisme, et un totalitarisme bien pire que celui de la majorité ? Bientôt il y aura – qui sait – un Parti des Homosexuels de France (PHL, désolé pour Bernard-Henri Lévy), l'association des Anciens combattants homosexuels, le monument aux morts homos de la guerre 14, sans oublier la Confédération des Travailleurs Homosexuels Solidaires (CTHS, ça sonne pas mal, non ?), et bien sûr un phallus monumental en pierre, de style stalinien, rappellera les victimes gays de la barbarie nazie sous l'Arc de triomphe (un tel monument existe déjà aux Pays-Bas). Au fait, homosexuel le soldat inconnu ? Après tout…

 

Essor de la propagande homosexuelle

Il faut également évoquer la propagande homosexuelle qui ne cesse de s'étendre, en relation avec la dictature de la bien-pensance. Une ancienne responsable politique ayant lâché « l'hétérosexualité, c'est mieux » se fit taxer de fascisme. Ma pauvre dame ! Non seulement l'homosexualité c'est aussi bien, mais c'est même mieux ! Il y a quelques années, un ministre polonais de l'éducation avait supprimé les subventions des campagnes de lutte contre l'homophobie dans les universités de son pays. Il avait déclaré vouloir mettre fin à « la propagande ». Il n'avait pas tort. Car il faut dire que la lutte contre l'homophobie, qui n'est pas dénuée de légitimité, vire au prosélytisme affiché. Partons d'un slogan utilisé par la gay pride (les homosexuels parlent peu le français car c'est une langue de fascistes homophobes, c'est bien connu…) tourangelle le 20 mai 2006 : « La sodomie ouvre l'esprit ». Passons sur la vulgarité qui de toute façon est la chose la mieux partagée, en France et ailleurs. Comment comprendre cette phrase ? Il me semble qu'il n'y a guère d'ambiguïté : pour être moderne, fun, pour être dans l'air du temps, il faut se faire sodomiser ou sodomiser autrui. Ceux qui refusent ne font pas preuve d'ouverture d'esprit, ils sont bornés, réactionnaires, enfermés dans un schéma comportemental dépassé issu de préjugés fascisants, de stéréotypes nauséabonds, n'ayons pas peur des mots. Ce sont des ringards. L'hétérosexualité relève de la ringardise. Autrement dit, l'homosexualité, c'est mieux. Je constate que le torchon de la Nouvelle République du Centre-Ouest rapportait ce slogan, sans s'offusquer. Personne ne monta donc au créneau pour dénoncer cette phrase qui stigmatisait clairement les hétérosexuels. Tout le monde trouvait cela normal. Peut-être y avait-il à la fin de la manifestation un atelier-découverte… On voit donc que la propagande homosexuelle est efficace. Nous sommes déjà dans l'ère d'un totalitarisme d'un nouveau genre. De toute façon, je suis désolé de le rappeler, mais de Sparte aux SA, les homosexuels ont toujours eu une forte propension à créer des régimes pas très démocratiques. A croire que beaucoup s'épanouissent ainsi. Là, je caricature et je suis à la limite de la bonne foi, je le reconnais. Mais ce qui est certain, c'est que la propagande va s'intensifier, puisqu'il n'y a plus aucun obstacle. Déjà des conférences sur l'orientation sexuelle des adolescents ont lieu. Pourquoi des associations gays n'organiseraient-elles pas des stages « de détection et d'affirmation du penchant homosexuel » ? Il se trouvera certainement de doctes psychologues pour proclamer que « tout hétérosexuel est un homosexuel qui s'ignore ». Le conditionnement commence très jeune, ainsi avec le kit anti-homophobie distribué dans des écoles primaires ! Et la République, l'Education nationale, laissent faire ces honteuses campagnes de pré-recrutement ! On croit rêver ! Il faut que la société ait vraiment perdu tous ses repères, toute notion d'honneur et de dignité pour en arriver-là. Avec l'adoption d'enfants par des couples homosexuels (employons ce superbe néologisme qu'est le mot « homoparentalité »), des problèmes vont bientôt se poser en ce qui concerne les programmes de Sciences de la Vie. Comment enseigner le fait homosexuel ? La question mérite d'être posée, car enfin, lors du cours sur la reproduction humaine, que devra répondre l'enseignant à l'élève qui lui demandera « comment font mes deux mamans ? » tandis qu'une partie de ses petits camarades ricaneront ? Que répondre à cela, si ce n'est « demande-leur toi-même » ou « cherche « sodomie » dans le dictionnaire » !

 

Je tiens à préciser que parallèlement à l'extension de la propagande homosexuelle, l'homophobie va également se développer. Une homophobie sourde, muette, refoulée, silencieuse, puisqu'au pays de la liberté il est interdit de critiquer les homosexuels, de même que les Juifs, les Arabes, les Subsahariens, les Chinois… C'est là que les serviteurs de la Cause, à mon avis, ont mal joué : leur propagande excessive alimentera la haine et le rejet qu'ils suscitent déjà de manière latente chez certains. Et en stigmatisant les hétérosexuels, ils jouent à un jeu dangereux qui pourrait bien à terme se retourner contre eux. Qui sème le vent récolte la tempête ! Mais pour l'instant, une période faste s'ouvre pour eux. Ils ont des défenseurs non dénués de talent, ainsi Noël Mamère qui apparemment détient la Vérité absolue sur cette terre, à ce sujet et pour les autres, et qui passe son temps à lancer l'anathème contre ceux qui ne sont pas d'accord avec lui. Les insultes « fascistes », « réactionnaires », les adjectifs « nauséabond », « dangereux », « inacceptable » fusent. Il n'échappera pas aux gens intelligents que c'est Noël Mamère l'adepte du fascisme, un fascisme « vert », certes drapé dans les oripeaux des grands principes de la soi-disant tolérance, de la modernité et du progrès, mais un fascisme tout de même. Voilà un homme qui prétend imposer ses idées à tout le monde et qui répète à l'envi que ceux qui ne pensent pas comme lui sont « dangereux ». Pour l'instant disais-je, les homosexuels n'ont rien à craindre : même la loi républicaine a été modifiée sous l'influence de leur propagande revendicative ! Agresser ou tuer un homosexuel, c'est excessivement grave, car l'homophobie est un facteur aggravant. Je tiens à dire qu'il y a deux types de citoyens en France. Il y a d'un côté les homosexuels, les Juifs, les Maghrébins, les Subsahariens… bref les « minorités ». Ceux-là ont une vie plus précieuse que les autres. Si un individu de ces catégories est agressé, émasculé, éventré, égorgé après les tortures d'usage, c'est horrible. D'autant qu'il s'agit forcément d'un crime homophobe, antisémite, raciste, islamophobe, négrophobe (choisissez le bon terme, selon la situation). Le crime est donc extrêmement, excessivement grave. Comme le dit Bernard-Henri Lévy, « tuer un Juif n'est pas un crime ordinaire ». C'est aussi vrai pour les homosexuels et quelques autres. En effet, ces gens ne sont pas des gens ordinaires : ce sont des gens extraordinaires. Il est ainsi fort déconseillé de s'attaquer à un juif noir et homosexuel, tout est possible. Par contre si un citoyen français blanc et hétérosexuel est agressé, émasculé, éventré, égorgé après les tortures d'usage, c'est horrible aussi bien sûr. Mais le crime n'est « que » très grave puisqu'il manque la motivation homophobe, antisémite, raciste, islamophobe, négrophobe (toutes à la fois cette fois) pour que ce soit extrêmement, excessivement grave. Car il n'a pas de chance, il fait partie des gens ordinaires. C'est étrange mais je me faisais une autre idée de l'Egalité… La République est en train de mourir parce qu'un homme ne vaut plus un autre homme : l'homo vaut plus que l'hétéro, le noir plus que le blanc, le musulman plus que le chrétien, le juif plus que le non-juif. Mais allons plus loin : reprenons notre blanc hétéro. Admettons qu'il ne porte pas les homos dans son cœur, qu'il ne déborde pas d'affection pour les Maures et les Sarrasins, et qu'il n'ait pas fait son pèlerinage à Drancy ou à Auschwitz : mais c'est bien fait ce qui lui est arrivé ! Si ça se trouve, s'il avait vécu un peu, il aurait voté Le Pen ! Un fasciste en moins, c'est toujours cela de gagner. Mais là j'exagère au point de déraisonner. Serais-je paranoïaque ? Je me le demande. Mais attention ! Ce n'est pas parce que je suis parano qu'ils ne sont pas quand même tous après moi, pour paraphraser Pierre Desproges.

 

Conclusion

Les homosexuels ne forment qu'une des composantes, et non la moins néfaste, de cette France des « communautés » qui passe son temps à pleurnicher, à réclamer, à menacer. Mais que veulent-ils ? Qu'ils vivent leur vie comme ils l'entendent, leur homosexualité relève de la sphère privée. Lorsqu'un hétérosexuel débarque à son travail ou à la piscine, il ne commence pas par déclarer : « au fait, je suis hétéro, j'aime les femmes ». La Déclaration des droits de l'homme spécifie que tout ce qui ne trouble pas l'ordre public, tout ce qui n'est pas interdit par la loi, est licite. L'homosexualité n'est pas interdite par la loi et ne trouble pas l'ordre public, donc les homosexuels ne peuvent être persécutés en tant que tels : ce serait une violation caractéristique des droits de l'homme. En revanche, je ne vois pas pourquoi il serait interdit de critiquer l'homosexualité et les homosexuels. Critiquer, ce n'est pas massacrer ou menacer. Critiquer fait partie de la liberté d'expression. Que l'on condamne ceux qui appellent au meurtre ou au pogrom. Mais la protection des homosexuels s'arrête là. Le PACS leur permet de contracter une union civile. C'est bien mais c'est suffisant. Les militants de la Cause sont peut-être l'arbre qui cache la forêt d'une majorité silencieuse d'homosexuels aspirant à vivre tranquillement et en toute discrétion. Qu'on les laisse vivre en paix, en adultes responsables. Mais qu'en échange on cesse de torturer les écoliers en traquant, avec une perversité démentielle, les supposés préjugés/stéréotypes dès le berceau.



05/02/2010
7 Poster un commentaire

A découvrir aussi