Félicitons le Pakistan
J'adresse mes sincères félicitations au peuple et au gouvernement pakistanais. Il faut dire que ce n'est pas tous les jours qu'il se passe quelque chose de joyeux au Pakistan, entre les attentats des talibans et les crimes d'honneur. Mais grâce à la magie des urnes, grâce aux bienfaits de la démocratie, grâce à la lâcheté et à la naïveté des Anglais, le Pakistan vient de s'agrandir, sans avoir tiré un seul coup de canon : le pays compte en effet un nouveau district, le Londonistan, dont le gouverneur est désormais M. Sadiq Khan, fraîchement élu. Malgré la distance, la conquête de Londres aura été plus simple que celle du Cachemire. En bon Français, je n'ai jamais aimé les Anglais, je le confesse, mais j'éprouve quand même un peu de tristesse à voir démanteler un pays qui fut la première puissance du monde, et notre allié pendant les deux guerres mondiales. L’Écosse est à deux doigts de la sécession, Londres est désormais une annexe de la République islamique du Pakistan. Sa Gracieuse Majesté doit se sentir bien seule, voire un peu étrangère dans une ville où je parierais que les femmes en niqab sont plus nombreuses que les fidèles anglicans. Que reste-t-il de véritablement british en Grande-Bretagne ? Peut-être la campagne anglaise chère à Jane Austen et à l'inspecteur Barnaby, mais guère plus.
Peu importe que Sadiq Khan soit un modéré, un progressiste, un ennemi des extrémistes islamistes, un défenseur du mariage homosexuel. Peu importe qu'il soit avocat, que son épouse, avocate comme lui, ne porte pas le voile, peu importe qu'il soit travailliste. Au fond, peu importe ce qu'est M. Khan. L'important est ce qu'il représente. Et les traîtres islamophiles, les thuriféraires de la diversité ne s'y sont pas trompés : Sadiq Khan représente l'enracinement de l'islam dans les nations occidentales, les minorités « visibles », le multiculturalisme, le cosmopolitisme. Il représente le déclin des peuples européens, le recul du christianisme, la fin d'un monde. Un monde qui nous avait donné une liberté et un confort que le monde nous enviait, un monde promis à une régression sans précédent au nom de la tolérance et du droit à la différence. M. Khan ne s'est d'ailleurs pas trompé sur le symbole, puisqu'il a déclaré : « J'espère que les résultats (de l'élection) encourageront les jeunes, les Londoniens musulmans et ceux venant d'autres minorités, à s'engager dans la société civile et dans la politique » [1], autrement dit : « prenez le pouvoir », cette ville, ce pays, sont à vous. Les blancs sont destinés à vous laisser la place. Alors évidemment, nos élites bien-pensantes se répandent en propos émus et compatissants sur ce « fils de chauffeur de bus pakistanais », devenu maire d'une des plus prestigieuses capitales d'Occident, avant peut-être d'être sultan de Grande-Bretagne. On trouve des pleines pages dithyrambiques pour vanter la « tolérance », l' « ouverture », que représente cette élection.
Derrière le conte de fées, il faut rappeler les faits. Et d'abord, d'où vient Sadiq Khan. Il est né en Grande-Bretagne de parents pakistanais musulmans. Il faut rappeler ce qu'est le Pakistan, le « pays des Purs », c'est-à-dire des purs musulmans, autant dire des purs sauvages. Le Pakistan est une République islamique, et comme dans toutes ces « républiques », les non-musulmans sont des moins que rien, qu'on peut tuer comme des chiens sans craindre la justice pakistanaise ni l'opprobre des foules, au contraire. Le Pakistan compte près de 3 millions de chrétiens, des autochtones pour la plupart. Aucun n'est maire de Lahore ou de Karachi, et je ne parle même pas d'Islamabad. Un musulman maire de Londres, c'est la tolérance, le progrès, le sens de l'histoire. Un chrétien maire de Karachi, ce serait un sacrilège... Chaque année, des centaines de chrétiens pakistanais sont tués, convertis de force, jugés pour blasphème. Car, au Pakistan, c'est la peine de mort pour quiconque dénigre (ou est supposé avoir dénigré...) le prophète. A Londres, le voile intégral est entré dans les mœurs. C'est la « liberté ». Au Pakistan, des islamistes ont tenté de faire interdire la Bible, la jugeant blasphématoire. Le nom « Jésus Christ » a même fait partie d'une liste de mots jugés « obscènes » que le gouvernement avait ordonné aux opérateurs de télécommunication de bloquer. A Londres, les pires prêcheurs islamistes manifestent, prônent le djihad, le meurtre des homosexuels, les violences contre les femmes, la conversion forcée des infidèles, et ce en toute quiétude. C'est la « liberté ». Et je parle des chrétiens, mais on pourrait évoquer les hindous (entre 5 et 10 millions) qui ne sont pas mieux lotis au pays des Purs.
Et puis il y a les questions d'honneur. Je n'ai rien contre l'honneur, bien au contraire, c'est un principe pour lequel j'ai le plus grand respect. Mais les Pakistanais salissent cette notion d'honneur. Dernière affaire en date : un jeune homme découvre sa sœur de 16 ans au téléphone avec un homme. Il s'empare d'un couteau de cuisine, l'égorge et la jette sur le seuil de sa maison, laissant la malheureuse agoniser, se vidant de son sang. Si les Pakistanais sont assez malhonnêtes pour qualifier d' « honneur » ce qui relève de la cruauté la plus abjecte, c'est leur problème. Je ne veux même pas croire que Mahomet aurait approuvé ce type d'exécution domestique, mais force est de constater que l'islam s'accommode parfaitement de cette culture violente et misogyne. Une culture qui est en train de s'implanter dans nos pays. Le pire dans cette affaire est qu'il a fallu que la police pakistanaise elle-même porte plainte afin que des poursuites s'engagent, car le père du bourreau a déjà pardonné, lui [2]. La mort d'une jeune fille, ce n'est pas grave au Pakistan. Mais, à part ça, on va nous dire que l'islam est profondément respectueux de la femme. Il serait souhaitable que toutes les petites pétasses, musulmanes de souche ou converties, qui exhibent ostensiblement foulards et jupes jusqu'aux chevilles en France soient expédiées quelques mois au Pakistan, pour vivre leur islam au pays des Purs.
Il n'y a aucune cohabitation pacifique, aucune entente, aucun accommodement possible avec les musulmans. Il n'y aura pas de paix tant qu'un seul musulman respirera notre air. L'islam, c'est le cancer qui ronge les pays d'Europe occidentale, lentement mais sûrement. Il faut se débarrasser de cette lèpre, à n'importe quel prix. Sinon, il n'y aura plus de civilisation britannique, française ou allemande. Et il sera trop tard pour pleurer en disant : « Ah ! Si nous avions su... ». Le sort des chrétiens d'Orient, vous le connaissez, tout le monde le connaît. Il est temps d'en tirer les conséquences.
Un dernier mot aux Britanniques de race blanche : au lieu de venir en France coloniser nos campagnes du Limousins ou d'ailleurs, restez donc chez vous, et défendez votre identité. Car il faut voir comment se comportent beaucoup d'Anglais installés en France : ils vivent comme les musulmans, n'apprennent pas un mot de français et font venir leur nourriture du Royaume-Uni, dans des épiceries spécialement ouvertes pour eux. C'est aux autres de s'adapter. Quand on sait les sacrifices consentis par leurs pères pour défendre leur terre face au III° Reich, on a honte pour eux. Heroes in the past, cowards of the future. Alors je vous le dis amicalement, Anglais de France : Go home ! Quickly ! Parce que bientôt, il n'y aura peut-être plus de « home, sweet home »...
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