Nouveau nom, nouvelle ligne politique
Ce blog a changé de nom, passant de "Nationaliste Social et Républicain" à "Nationaliste Social et Ethniciste". Le lecteur, ancien ou nouveau, est en droit de se demander: et alors? Qu'est-ce que cela change? Pourquoi abandonner le terme "Républicain"? Qu'implique ce mot un peu étrange et peu usuel d' "Ethniciste"? Le moment est venu de clarifier les choses. Le texte qui suit n'est pas à proprement parler un programme, mais il a vocation à donner une ligne générale, et surtout à faire comprendre au lecteur où il met les pieds (ou plutôt où il pose les yeux) en arrivant sur ce site, ainsi qu'à exposer mes priorités dans le combat politique.
J'évacue rapidement la question républicaine dans la mesure où j'ai déjà expliqué dans un précédent article les raisons de ma désaffection pour la République qui, selon moi, a produit une idéologie devenue nuisible à la France (du moins à l'idée que je me fais de la France). Est-ce à dire que j'appelle de mes voeux une "révolution", un coup d'Etat, la mise en place d'un nouveau régime? A vrai dire, je suis indécis sur cette question que je n'ai pas creusée plus que ça. La monarchie ne m'enthousiaste pas, car je considère que les rois ont failli en 1791-1792, en 1814, en 1830 et en 1848. Le royalisme pour moi n'est pas crédible aujourd'hui en France. D'autant que la royauté "moderne" de type nordique ne me fait pas rêver, et si c'est pour avoir une monarchie petite-bourgeoise à la néerlandaise ou à la danoise, avec Monsieur ou Madame-tout-le-monde sur le trône, non merci. L'Empire napoléonien me séduit davantage mais il faut reconnaître que ce n'est guère de saison, et de plus, l'Empire, c'est la guerre. En outre le problème est qu'à terme on risque de retrouver les défauts inhérents à la monarchie héréditaire avec la montée sur la trône d'incompétents ou pire, de "progressistes" qui soit-disant pour être "proches du peuple" feront perdre son lustre à l'institution. Le Consulat ou la République gaullienne est selon moi ce qui convient le mieux, seulement il faut un Bonaparte ou un de Gaulle, et c'est là que le bât blesse. Dans tous les cas, et contrairement à ce que j'avais défendu dans un ancien article, un système parlementaire ne me semble plus être une bonne option. Il faut un exécutif fort même si à titre personnel je le préférerais collégial. En ce qui concerne le pouvoir législatif, je suis favorable à un Parlement bicaméral, composée d'une Assemblée nationale élue à la proportionnelle, avec prime majoritaire à la liste ayant obtenu le plus de votants afin qu'une majorité claire se dégage, et d'un Sénat dont les membres seraient élus, comme aujourd'hui, au suffrage universel indirect, mais où siégeraient également de droit les anciens Premiers ministres, ministres de l'Intérieur, de la Défense, des Affaires étrangères, des Finances et de la Justice ayant occupé leurs fonctions au moins un an d'affilée. Après, la question du rapport entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif est complexe, et je n'ai pas vraiment d'avis sur la question. En revanche, je suis fermement opposé au pouvoir des juges, et le pouvoir judiciaire doit être subordonné (et non soumis) aux pouvoirs législatif et exécutif. Enfin, dans le combat multiséculaire entre centralisateurs et fédéralistes, je reste résolument dans le camp centralisateur: je suis partisan d'une stricte recentralisation, qui passe par un affaiblissement significatif des régions administratives (voire leur suppression pure et simple) et des métropoles au profit de l'Etat et des départements, et par un pouvoir de contrôle accru des préfets sur les collectivités locales. Dans les zones rurales dépeuplées, il faudrait peut-être envisager de développer l'échelon cantonal, en lien avec le département. Je suis également favorable au cumul des mandats, car je pense qu'il est sain qu'un député, par exemple, soit conseiller municipal ou conseiller départemental, cela permet un lien entre échelon national et échelon local. Cela étant, ce cumul doit être limité: un député peut difficilement être maire d'une grande ville ou président d'un conseil départemental, mais il peut être adjoint dans une grande ville ou maire d'une petite commune. Dans tous les cas, l'élu doit effectivement exercer ses mandats.
Ce qui ne change pas, c'est l'appellation de "nationaliste" que je revendique. Je le redis, le nationaliste est celui qui considère qu'en matière politique, rien n'est au-dessus de la nation. Ce faisant, je revendique une partie de l'héritage de 1789: "le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation". Par conséquent, la France doit être pour moi souveraine et indépendante. Et pour garantir cette souveraineté et cette indépendance, la France doit être puissante, notamment dans le domaine militaire. Le nationaliste que je suis n'est pas un amoureux de la guerre ni de la puissance pour la puissance. Simplement, la puissance, y compris militaire, est le prix de la liberté et de la prospérité. Cette position entraîne plusieurs conséquences: je rejette le principe même de construction européenne qui, pour moi, cherche à recréer une forme de Saint Empire Germanique. Je suis donc favorable à la sortie de l'Union européenne (ou, à défaut, je souhaite vider de leur substance les institutions européennes) et surtout à la restauration d'une monnaie nationale. D'un point de vue militaire, la Guerre froide étant terminée, je ne vois pas bien quelle est l'utilité de l'OTAN. Je souhaite un retrait de la France de cette organisation, et la conclusion d'alliances militaires bilatérales. Je pense également que la France devrait définir une Ostpolitik cohérente car l'Europe de l'est (y compris la Russie) et les Balkans abritent de potentiels alliés, laissés de côté au nom du sacro-saint "couple franco-allemand", lequel tourne à la relation toxique. Je suis enfin partisan d'une Ligue latine qui regrouperait les pays de culture romane (Portugal, Espagne, France, Belgique, Italie, Roumanie) avec un objectif de coopération culturelle et économique, évidemment dans le respect de la souveraineté de chaque pays. Être nationaliste signifie aussi défendre par principe l'Etat-nation, en s'abstenant d'encourager ou de favoriser la division ou la sécession dans les autres pays, je suis donc hostile au principe d'ingérence.
Par "social", il faut entendre que je suis opposé au capitalisme néolibéral, à la "concurrence libre et non faussée" inscrite dans les traités européens. Je ne suis pas communiste, mais je suis étatiste dans la tradition colbertiste, c'est-à-dire que je suis favorable à un capitalisme encadré et régulé par l'Etat avec, le cas échéant, un contrôle plus ou moins strict de ce dernier sur certains secteurs stratégiques (énergie, transport ferroviaire, industrie lourde, banques, recherche...). De ce point de vue, je ne prétends pas à l'originalité, et je rejoins sur ce sujet les gaullistes, les chevènementistes ou même Marine Le Pen et son "Etat-stratège". Ensuite, par "social", j'exprime mon attachement à l'Etat-Providence, c'est-à-dire à la Sécurité Sociale et à une politique de redistribution et de protection, mais à la condition de fixer des contreparties et de traquer les profiteurs. Accorder des droits suppose de les subordonner à des devoirs envers la collectivité. Je suis également attaché au droit du travail et j'estime que l'obtention d'un CDI qui apporte au travailleur la sécurité et la stabilité, tant au plan professionnel qu'au plan personnel, doit être encouragée, au rebours d'un discours dominant qui nous explique que le bonheur réside dans la précarité, la mobilité, la flexibilité, et que les non-précaires sont d'ignobles privilégiés. Etant moi-même fonctionnaire, je ne cracherai pas dans la soupe: je défends la fonction publique car je la crois utile au bien-être des populations et à la prospérité du pays. La sécurité, l'instruction, la santé sont autant d'indicateurs du développement d'un état. Un pays sûr, dont la population est correctement instruite et convenablement soignée, est un pays plus agréable à vivre, plus efficace économiquement et généralement nettement plus productif, ce qui compense le coût élevé de la main-d'oeuvre. En revanche, je m'interroge sur l'expansion de la fonction publique territoriale, conséquence d'une décentralisation qui affaiblit l'Etat sans vraiment donner la preuve que les "gens de terrain" font mieux les choses (contrairement à une idée répandue, je trouve les préfets bien plus compétents et efficaces que les maires par exemple), qui nourrit en certains endroits beaucoup de clientélisme électoral, qui emploie pléthore de communicants, qui coûte cher, pour un bénéfice très discutable.
Passons maintenant au terme "ethniciste", car c'est là sans doute que se situe le changement le plus important et le plus fondamental: après avoir oscillé entre une conception "républicaine" et une conception "identitaire" de la nation, j'ai basculé définitivement dans le camp identitaire. Je ne crois plus aujourd'hui qu'on puisse penser la nation indépendamment des questions de religion et d'appartenance ethnique. Je définis ici l'ethnie comme une communauté de race et de culture. La République nous a vendu (et essaie toujours de le faire mais avec de moins en moins de succès) qu'on pouvait vivre paisiblement dans une nation multiraciale et multiconfessionnelle, et que la France serait toujours la France. Ce n'est pas vrai. Certains républicains patriotes (je ne nie pas qu'ils existent), conscients du problème mais gênés aux entournures, nous disent: "peu importe que les gens soient blancs, noirs, jaunes; peu importe qu'ils soient chrétiens, juifs, musulmans, bouddhistes, pratiquants ou non, athées; peu importe, pourvu qu'ils fassent leur la culture, l'héritage, l'histoire de notre pays". Moi-même, je n'étais pas loin d'adhérer à cette vision, mais j'avoue que j'en suis revenu. Le problème est que cette façon de penser postule, de manière un peu optimiste à mon avis, que l'origine, la religion, l'appartenance ethnique n'ont rien à voir avec la culture. Ces républicains s'imaginent que la religion ou la couleur de peau peut rester du domaine de la sphère privée. J'avoue mon scepticisme. Au fondement d'une culture, il y a assez souvent une religion, et c'est très vrai pour les trois grands monothéismes. Et tout particulièrement pour l'islam qui, contrairement au christianisme, n'a pas eu à composer avec un fort substrat gréco-latin. On ne peut que constater que les tentatives d'exclure le religieux de la sphère publique ont échoué dans la plupart des pays à majorité musulmane. Et ne regardons pas uniquement chez les très conservatrices monarchies du Golfe ou dans les pays où le "socialisme arabe" teinté de laïcité a en partie échoué (Algérie, Irak), non, il faut aussi observer comment évoluent des pays comme la Malaisie ou l'Indonésie, des pays où l'islam local était plutôt libéral, des pays assez prospères économiquement (du moins pour la Malaisie). Là aussi, la religion musulmane n'a pu être renvoyée dans la sphère privée et les tenants d'un aggiornamento de l'islam devraient se demander pourquoi. Quant à la couleur de peau, je pense que le communautarisme rampant, un discours racialiste décomplexé (diffusé, rappelons-le, par les antiracistes officiels), la multiplication des officines identitaires et les récentes manifestations du "Comité Adama" nous montrent suffisamment qu'il est vain de croire qu'on a évacué cette question et qu'on pourra le faire. Désolé de doucher les espoirs des républicains patriotes et souverainistes, mais la race, la religion, l'origine ont une importance dans la définition de la nation, en France comme ailleurs.
Or la nation française est historiquement composée d'hommes blancs de confession chrétienne catholique (avec quelques protestants et juifs). C'est comme ça, et François Durpaire, Patrick Boucheron, Gérard Noiriel auront beau le regretter, ce sera toujours ainsi. On ne change pas l'histoire. Par le mot "ethniciste", j'entends donc défendre l'idée que la France a une identité ethnique, et même ethnico-religieuse: c'est une nation blanche, occidentale, de culture chrétienne. Et cette identité ethnique est indissociable de l'identité nationale. La "diversité" de notre société est à mes yeux une des raisons principales de la crise que nous traversons. J'aspire donc à une France ethniquement et culturellement plus homogène qu'elle ne l'est actuellement. Je souhaite un départ massif des populations originaires du Maghreb et d'Afrique, et la francisation systématique de ceux qui resteront. Je propose d'abord l'abolition de la double nationalité, car je ne crois pas qu'on puisse avoir deux patries. Ensuite, je souhaite la déchéance de nationalité pour tous les citoyens français originaires d'une ancienne colonie française. Quand on choisit l'indépendance, il faut assumer. Bien sûr, je suis là dans le général, il y a naturellement des cas spécifiques à prendre en compte: les harkis et leurs descendants, les juifs d'Algérie, les personnes ayant rendu de grands services à la nation française, les Viêtnamiens (dont la communauté ne pose guère de problème). A contrario, les Turcs ou les Tchétchènes (ces derniers étant blancs) qui, avec la bénédiction du pays d'origine ont développé une forte identité "nationale-religieuse", doivent être réexpédiés sans ménagement vers leur chère patrie. Pour les Chinois, la question se pose de savoir dans quelle mesure cette communauté pourrait être utilisée dans l'avenir comme levier d'influence par le pouvoir de Pékin. Il ne s'agit donc pas de chasser du jour au lendemain la totalité des personnes subsahariennes, maghrébines ou asiatiques vivant sur le sol français, car on voit bien que plusieurs facteurs liés à la situation intérieure (degré d'assimilation, de résistance à l'acculturation, d'hostilité à l'identité française blanche et chrétienne dans chaque communauté) mais aussi internationale (il n'est pas déraisonnable par exemple de considérer aujourd'hui la Turquie comme un pays hostile) entrent en jeu. Mais l'objectif avoué est bel et bien de réduire considérablement les effectifs des populations issues de l'immigration, afin notamment de vider les enclaves "ethniques" et d'assécher ainsi les tensions inter-communautaires. La politique que je prône est de toujours favoriser celui qui culturellement, est le plus proche de l'identité française: il faut par exemple préférer les Européens chrétiens aux gens d'un autre continent, les Arabes ou les noirs chrétiens aux Arabes ou aux noirs musulmans, et ainsi de suite. Au final, il restera sans doute quelques Français d'origine arabe ou subsaharienne, mais très peu nombreux, assimilés, bien intégrés.
Alors on pourra dire que j'ai tourné le dos à l'universalisme des Lumières. Eh bien oui, et je l'assume. Je n'étais pas un identitaire racialiste, mais j'admets l'être devenu. Je ne veux rétablir ni l'esclavage ni la domination coloniale. Je ne crois pas qu'il y ait dans l'absolu de hiérarchie entre les races ou entre les religions. Mais je refuse de m'excuser pour ma couleur de peau ou pour ma culture. Par conséquent, rendre la prééminence absolue aux Français blancs de tradition chrétienne sur le sol de France est désormais ma priorité.
Pour terminer, je me dois d'aborder une question qui, si elle n'est pas au coeur de ma réflexion, prend une dimension envahissante dans le débat public: l'environnement et le réchauffement climatique sont devenus des sujets politiques pour ne pas dire religieux. Malheur à celui qui remettrait en cause la vulgate collapsologique! Il serait tout aussitôt qualifié de "climatosceptique", autant dire d'hérétique. Pour ma part, je ne suis pas un expert mais quelques remarques s'imposent d'abord: je trouve ridicule de vouloir "sauver le climat". La Terre a un climat depuis l'aube des temps, et il y aura toujours un climat que l'homme aura disparu depuis beau temps. Ensuite, le climat que nous connaissons n'a pas toujours régné sur notre planète, il y a même eu des catastrophes climatiques dans le passé, des périodes où il faisait nettement plus chaud ou beaucoup plus froid qu'aujourd'hui. Il fut un temps où le permafrost (ou plutôt pergélisol en bon français) n'existait pas... Et il y avait de la vie sur Terre. Ceci étant posé, regardons les éléments dont nous disposons, qui sont de trois niveaux. Premier niveau, le constat: aujourd'hui plus personne ne nie sérieusement l'élévation des températures à la surface de notre planète depuis les débuts de l'ère industrielle. Le réchauffement est une réalité. Deuxième niveau, la cause du phénomène: aujourd'hui, une grande majorité de spécialistes s'accorde à dire que l'activité humaine est au moins en partie responsable de ce réchauffement. Quelques scientifiques le contestent, on doit pouvoir entendre leurs arguments, mais il ne faut pas perdre de vue qu'ils sont très minoritaires. Dans ces conditions, je n'ai personnellement aucune réticence à reconnaître une origine anthropique à l'élévation des températures. Troisième et dernier niveau, les conséquences de ce changement: oui, le réchauffement climatique est un défi pour l'humanité, cependant le pire n'est pas certain. Nous disposons de modèles, de projections, mais il y a encore des inconnus. La montée du niveau des océans et la multiplication des phénomènes climatiques extrêmes (canicule, cyclone, etc) sont des menaces à prendre au sérieux. Indépendamment du climat, la pollution est un problème à régler. Rappelons toutefois que, dans le passé, l'homme a déjà affronté des changements climatiques. Certes, ces changements étaient moins rapides... mais l'homme était également moins bien armé techniquement et intellectuellement pour les affronter. Je ne sous-estime pas le défi qui nous attend mais je pense que nous trouverons des solutions. D'ailleurs, nous n'avons pas le choix, car si nous ne trouvons pas, nous disparaîtrons et le changement climatique ne sera plus notre problème...
Quelles sont les solutions envisageables? Pour moi, elles passent nécessairement par la science et la technique, et certainement pas par un impossible retour en arrière, encore moins par la création d'une hypothétique harmonie entre l'homme et la nature. Rappelons que pendant plus de 200 000 ans, nos ancêtres ont vécu au plus près de la nature, et leur "empreinte carbone" aurait fait pâlir d'envie nos écologistes. Seulement voilà, ils vivaient au milieu de la pénurie, des épidémies et de la précarité. On mourait à 30 ans, la moitié des enfants décédait avant l'âge de 1 an, la moitié des femmes succombaient en couches. Est-ce cela que nous voulons? La nature n'est pas notre amie, ni notre ennemie d'ailleurs. Elle est une contrainte, un aléa, un risque. Pendant des millénaires, l'homme a travaillé dur pour se libérer de cette contrainte, pour réduire le risque, et vivre mieux et plus longtemps. Faut-il le regretter? Je ne le crois pas. N'en déplaise aux antispécistes, je reste convaincu que l'invention de l'élevage et de l'agriculture au néolithique est un des grands progrès de l'humanité. Face au réchauffement, il faut travailler selon moi dans deux directions: réduire, dans la mesure du possible, les émissions de gaz à effet de serre (y compris en produisant de l'électricité par la filière nucléaire), mais c'est à mon avis une erreur de se focaliser uniquement sur ce point, il faut également se préparer et s'adapter, par exemple en revoyant l'architecture des maisons et des immeubles afin d'affronter des étés de plus en plus chauds, ou en commençant à sélectionner des plantes comestibles qui supportent un climat plus chaud. Bref, il y a des choses à faire, autrement plus efficaces (mais moins spectaculaires) que de proclamer que l'effondrement généralisé est pour dans moins de dix ans. Il y a bien mieux à faire que d'écouter les escrocs millénaristes genre Greta Thunberg ou Yves Cochet.
Pour conclure, si l'on veut récapituler brièvement, voici les grands axes de la ligne politique défendue sur ce blog:
- un Etat fort, respecté, centralisé, qui garantisse l' "ordre blanc";
- une France souveraine et indépendante;
- une économie régulée par un Etat protecteur des droits des travailleurs;
- une nation ethniquement et culturellement plus homogène, fière de son histoire et de sa civilisation, libérée du fardeau des minorités "racisées" et du poison de l'islam;
- la recherche de solutions techniques et scientifiques aux problèmes environnementaux, aux antipodes des prêches millénaristes sur la sobriété pénitentielle.
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