Politique migratoire: le pape des Roms s'en mêle
L'actualité est en ce moment dominée par la question du traitement des Roms. Les droits-de-l'hommistes dégoulinants de bons sentiments sirupeux sont toujours en quête d'une minorité persécutée. Maghrébins et Subsahariens ne sont pas très bons clients : islam, violences urbaines, revendications communautaristes, leurs jérémiades insupportent de plus en plus de citoyens, même à gauche. Heureusement pour eux, nos insatiables pourfendeurs du racisme et des discriminations se sont trouvés de nouveaux martyrs devant lesquels se prosterner : les Roms.
Les reconduites de Roms : la stricte application de la loi républicaine
Certains Français ont un gros problème avec la législation en vigueur dans leur pays : alors même que nos lois sont adoptées dans un cadre démocratique, certes pas idéal, mais certainement plus exemplaire qu'en Algérie ou en Arabie Saoudite, leur application conduirait à avoir un comportement qui « n'est pas français », dixit Ségolène Royal. Mais être Français, est-ce parler de « bravitude » sur la muraille de Chine, en louant les vertus de la justice chinoise ? Sans doute ! Ségolène Royal a une qualité : chaque fois qu'elle parle, elle m'ôte tout regret de ne pas avoir voté pour elle en 2007. Comme tous les pays du monde, y compris démocratiques, la France a une législation concernant l'immigration. Pourquoi ? Parce qu'il est légitime pour un Etat souverain de décider qui il accepte sur son sol et à quelles conditions. L'utilisation des droits de l'homme contre la démocratie est stupide et dangereuse. La démocratie, si imparfaite soit-elle, est le seul régime qui garantisse les droits de l'homme. Et le premier des droits est précisément de vivre libre dans un Etat démocratique. Seulement la démocratie suppose que le peuple est souverain, et qu'il a le droit de prendre des décisions dans son intérêt. Or aujourd'hui, certains, partis politiques ou lobbies associatifs, usent et abusent de la Déclaration universelle des droits de l'homme et de la Convention européenne des droits de l'homme pour limiter la démocratie et priver le peuple français (et d'autres) de sa souveraineté. Au plan international, on en arrive d'ailleurs à des paradoxes grotesques : ainsi, à l'ONU, les pays musulmans, au premier rang desquels l'Algérie et le Pakistan, réclament des mesures en Occident contre l'islamophobie montante, sous prétexte que charrier Mahomet ou constater que l'islam produit de la violence, c'est attentatoire à la dignité humaine. Dans ces moments là, je me dis que la réalité dépasse de loin le burlesque le plus absurde que l'homme puisse imaginer. Quant à trouver un homme ou une femme politique française qui s'insurgerait, et qui remettrait à leur place ces Etats voyous (car le Pakistan et l'Algérie le sont assurément) boursouflés de leur arrogance toute mahométane, on peut toujours rêver.
Non, en France, les vrais politiques, encartés, sérieux et emplis de hautes ambitions pour la patrie, pleurnichent en voyant les bidonvilles des Roms détruits par les bulldozers de la police. A gauche, mais pas seulement. A droite, le Beau Dominique poursuit sa campagne de séduction auprès des minorités. Il parle, n'ayons pas peur des mots, d'une « tâche sur notre drapeau ». Rien que ça ! Mais, M. de Villepin, pardon, M. Galouzeau de Villepin, d'aucuns vous disent féru d'histoire. D'histoire de France même. Alors laissez-moi vous faire un bref rappel : nous avons massacré au cours des siècles les Cathares du Midi, les Protestants, les Vendéens, nous avons réduit des Africains en esclavage, colonisé l'Algérie et l'Etat français du maréchal a même livré des juifs et des communistes aux Boches ! Franchement, quand je vois quelques dizaines de pauvres bougres roms, embarqués dans un avion spécialement affrété pour eux, avec en poche 300 € et parfois plus « d'aide au retour » (oui ! on les paie pour qu'ils partent, ce n'est pas une blague) pour chacun, je me dis qu'il n'y a pas de quoi crier au loup. Certains y voient la preuve que notre pays est gouverné par des crypto-vichystes. Vu les chiffres de l'insécurité, il est clair que les délinquants sont terrifiés par les discours du président Sarkozy. Cette mascarade est lamentable. Nous avons vu cette mère pleurer avec son enfant dans les bras. Et une humanitaire prétend que la scène est digne d'un camp de réfugié en Afrique ou en Afghanistan. Et si on redescendait sur terre ? Les Roms qui chialent en faisant la manche avec leur petit écriteau « Pitié j'ai trois enfants je veu mangé », tout le monde les voit dans nos villes. Personne ne donne ! Ni les militants du NPA, les « partageux », ni les cathos pratiquants. D'ailleurs, une femme rom a confessé qu'elle venait en France vivre de la mendicité ! Alors, Mme Royal, être Français, c'est accepter que des milliers de personnes viennent ici vivre en mendiant ? Je crois qu'être Français, ce sera bientôt se cotiser pour livrer Ségolène Royal et Dominique de Villepin à la branche maghrébine d'Al-Qaida… Mais là, je me laisse aller à des désirs non-républicains.
Que dit la loi concernant ces Roms ? En tant que citoyens de l'Union européenne, puisqu'ils viennent de Roumanie et de Bulgarie, ils peuvent venir légalement en France. Mais si au bout de trois mois, ils n'ont ni travail ni ressources suffisantes pour entretenir leur famille, la loi française considère logiquement que leur place n'est pas ici. Ils sont donc priés de repartir dans leur pays d'origine. La Roumanie s'offusque ! Mais si les Roms étaient heureux là-bas, viendraient-ils en France ? Certes non. Une fois de plus, c'est l'hôpital qui se fout de la charité. Et il ne s'est pas trouvé un politique pour le faire remarquer. Il pourrait (conditionnel de rigueur) y avoir près de deux millions de Roms en Roumanie. Parce que nous sommes Français, nous devrions tous les accueillir ? Pour leur offrir quoi ? Un Rom s'est plaint à un journaliste de ne pas trouver de travail à cause des discriminations (ah ! ces sales Français de souche ! Serons-nous un jour débarrassés de cette vile engeance ?), et donc d'être obligé de voler pour vivre. Du travail ? Quel travail ? Des centaines de milliers de Français sont au chômage. Il n'y a ni travail ni logement pour ces gens en France. Que souhaitent leurs défenseurs ? Voir s'installer des bidonvilles aux portes des grandes agglomérations ? Les quartiers « sensibles » ne suffisent pas ? « Ils vivent comme des rats » clame la fille de M. Chirac (en service commandé pour papa ?). Apparemment, ils préfèrent vivre ici comme des rats que tenter d'améliorer leur quotidien en Roumanie… Ils sont paraît-il discriminés là-bas aussi (tiens, il y a des discriminations ailleurs qu'en France ?). Et alors ? Est-ce aux Français de payer pour les problèmes d'intégration des Roms en Roumanie ? C'est ça la solidarité européenne : « Eh, toi la France, le pays riche, prends-donc mes Roms, moi j'en veux pas, donne-leur du boulot et entretiens-les avec ton système social ! Eh quoi, fais pas le radin ! » ? Où l'on voit à nouveau que la construction européenne est une entreprise néfaste pour la France. La Roumanie est un pays que j'apprécie, car nous avons des affinités culturelles avec le porte-drapeau de la latinité en Europe orientale. Napoléon III en son temps favorisa l'union de la Valachie et de la Moldavie, acte de naissance de la Roumanie moderne. Cette dernière, francophile, fut notre alliée et entra courageusement en guerre en 1916, subissant un désastre et une dure occupation. Mais cela ne m'empêche pas de dire à nos amis roumains qu'ils exagèrent en défendant les droits des Roms hors de Roumanie sans faire grand-chose pour eux en Roumanie même.
J'ai toujours été partisan d'établir des conditions simples et claires pour la résidence d'étrangers en France : un immigré doit justifier d'un travail légal (ou au moins d'une formation en cours) et d'un casier judiciaire vierge. Si ces deux conditions ne sont pas remplies, l'immigré doit être expulsé avec les siens. Moult gens bondiront en lisant cela. Pourtant, aussi douloureux que puisse paraître une telle décision, elle n'a rien d'infâme, elle est simplement conforme à l'intérêt supérieur de la France. Le problème est que l'intérêt de la nation ne coïncide pas vraiment avec les impératifs humanitaires de tous ceux qui ont une approche purement compassionnelle des questions migratoires (« Ah ! Les pauvres gens ! Il faut faire quelque chose pour eux ! »). Aujourd'hui, certains, politiques, associations, intellectuels, sont tout à fait prêts à sacrifier la France sur l'autel de l'humanitaire, du droit d'accueil et du culte des minorités. Pour ma part, je considère que l'intérêt et la cohésion de la France l'emportent sur les questions humanitaires. Les Roms ne sont pas des réfugiés fuyant une guerre.
Si scandale il y a, ce n'est certes pas à mes yeux l'application de la loi. On pourrait même admirer que Nicolas Sarkozy daigne faire appliquer la législation dont il assure tant de promotion suivi de si peu d'effets. Non, le scandale est autre : 1) l'aide au retour est parfaitement hors-de-propos quand on sait que beaucoup de ces Roms clament haut et fort qu'ils reviendront dans quelques mois, et alors que les caisses sont vides ; les Roms se vantent sans vergogne de vivre en parasite d'assistanat et de mendicité, et des dirigeants politiques trouvent le moyen de les défendre ! Est-ce français que de faire preuve d'autant de bêtise ? 2) Comment se fait-il que les autorités aient attendu si longtemps pour appliquer la loi ? Aujourd'hui, les Roms sont plusieurs milliers ; si la loi avait été appliquée dès le début, il y en aurait peut-être moins.
Par conséquent, les destructions de camps roms et l'expulsion de ces indésirables doivent se poursuivre, sans faiblesse. Nous n'avons besoin ni du parasitisme ni des bidonvilles que les Roms nous amènent. Ce n'est pas très gentil de le dire, mais la vérité est parfois désagréable à entendre. Tant pis pour les adeptes du compassionnel sirupeux (qui, soit dit en passant, évitent soigneusement de vivre près des Roms, et seraient les premiers à protester si ces sympathiques migrants édifiaient un bidonville sous leurs fenêtres !).
De quoi se mêle l'Eglise catholique ?
Un personnage inattendu s'est immiscé dans le débat : l'Eglise par la voix, entre autres, du pape Benoît XVI. Qu'est-ce que Jésus a à voir avec la politique migratoire de la France ? Donner 300 € à un Rom pour qu'il quitte son bidonville, je trouve que c'est généreux (et bien cher payé). Les membres du clergé en France sont dans une situation compliquée : citoyens français pour la plupart, ils ont fait allégeance au pape qui est le chef d'un Etat étranger, le Vatican. Il faudrait envisager la suspension des droits civiques pour les membres du clergé, mais c'est un autre débat. Il est en tout cas assez drôle d'entendre la gauche, qui se déchaîne régulièrement contre le catholicisme tout en se prosternant devant l'islam, emboîter le pas au pape et le citer, comme l'a fait Benoît Hamon. Quelle hypocrisie ! Mais il est vrai qu'au PS, la qualité la plus reconnue est la bassesse.
La papauté est-elle la mieux placée pour donner des leçons de morale ? Certes non. Je ne remonterais pas à l'inquisition, au temps du népotisme ou des guerres de religion. L'Eglise a changé depuis, s'est réformée et a ouvert le dialogue interconfessionnel (alors que l'islam toujours pas, mais passons). Je ne veux pas faire partie de ceux qui, depuis quelques mois, mènent une véritable « croisade » anticatholique, utilisant de sordides affaires de pédophilie de tout lieu et de toute époque, pour décrédibiliser l'Eglise et salir le pape en personne. Je ne m'abaisserai pas, comme certains journalistes le font, à guetter la moindre petite phrase du pape sur la contraception pour le traiter de réactionnaire démodé. Benoît XVI à lui seul a sans doute plus de culture et de savoir-vivre que tous ceux qui le traînent ignominieusement dans la boue réunis. Rien que pour cela, je lui accorde plus d'estime qu'à eux. Il n'en demeure pas moins que certaines critiques peuvent être légitimement formulées.
Qu'un prêtre français, en tant que citoyen, s'exprime en son nom propre parce qu'il s'occupe d'une association qui aide les Roms, je n'y vois rien à redire. Mais que le pape, dirigeant un Etat étranger, se permette de donner publiquement son avis sur la politique française en critiquant à mot couvert les lois démocratiquement adoptés par notre pays, c'est inadmissible. D'autant que le Vatican n'est pas tout blanc. Je passe sur Pie XII et la guerre, car la résistance de nombreux catholiques et l'héroïsme de certains prêtres me donnent scrupule à attaquer l'Eglise, d'autant qu'il s'est trouvé bien des gens « de gauche » pour collaborer avec les nazis. Dans ma région, le val-de-Loire, c'est un prêtre qui a sans doute sauvé le château de Chambord… et la population de la commune enfermée dedans par les Allemands (et je dis bien « les Allemands » et non les « nazis »). La guerre est une période sombre, et il est probable qu'il était bien difficile d'être exemplaire. Mais plus proche de nous, le Vatican a joué un rôle plus que trouble dans l'éclatement de la Yougoslavie. J'ai déjà dénoncé le rôle de l'Allemagne dans cette affaire. Nos voisins d'outre-Rhin n'ont point été les seuls à se réjouir secrètement de la dislocation yougoslave. Le Vatican a pour sa part vu d'un bon œil la naissance de deux pays majoritairement catholiques, à savoir la Slovénie et la Croatie. Les ambitions géopolitiques allemandes ont fort à propos rencontré le désir de reconquête de l'Eglise catholique à l'est de l'Europe. La chute du communisme a permis à l'Eglise de retrouver une influence dans certains pays : Pologne évidemment, Slovaquie, Hongrie et République tchèque dans une moindre mesure. Les liens avec les gréco-catholiques (dits « uniates ») de Roumanie et d'Ukraine ont été rétablis. La création de deux nouveaux pays catholiques au nord des Balkans parachevait en quelque sorte cette contre-offensive du Vatican. Je ne reproche pas à l'Eglise d'avoir cherché à recouvrer le terrain perdu : c'est assez naturel d'une part, d'autre part l'Eglise a une vocation universelle et évangéliser le monde fait partie de son programme. En revanche j'accuse le Vatican d'avoir une part de responsabilité dans les guerres qui ont sévi en Yougoslavie, et notamment dans le nettoyage ethnique de la Krajina. En effet, les Croates catholiques devenus indépendants avec la bénédiction de l'Eglise ont purement et simplement éliminé la minorité orthodoxe de leur nouveau pays. Si l'Allemagne et le Vatican avaient prêché l'apaisement et la conciliation au lieu de s'empresser de reconnaître les indépendances slovène et croate, qui sait ? Le cours des choses en eut peut-être été changé.
Je suis partisan d'une stricte laïcité. Ce que j'exige des musulmans, je l'exige aussi des chrétiens. Je refuse qu'un ministre de la République ait des comptes à rendre à l'archevêque de Paris, si estimable qu'il soit, et a fortiori au pape. Je dénie aux représentants du clergé le droit de s'exprimer, au nom de l'Eglise, sur la politique menée par la France. Ils peuvent à la limite parler en leur nom propre, et encore, vu leur situation, il serait préférable qu'ils se taisent. Il est en revanche inacceptable qu'ils prétendent s'exprimer au nom de la communauté catholique dans son ensemble. Je ne doute pas que certains catholiques sont persuadés du bien-fondé de ces expulsions, même si en effet ce n'est pas un acte très chrétien. Le pape a invité chacun à « accueillir la diversité humaine ». La Yougoslavie était un pays divers avec des orthodoxes, des catholiques et des musulmans. Détruire cette diversité n'a apparemment pas gêné le Vatican. Il est étrange pour un pape qui déplore la perte d'identité catholique des pays d'Europe occidentale d'entonner le même refrain que les gauchistes libertaires et les libéraux mondialistes. Les migrations de manière générale contribuent puissamment à brouiller les marqueurs identitaires. La diversité tant louée ici ou là n'est qu'un magma informe qui alimente d'abord les rancœurs, les tensions communautaires, les haines et les violences à caractère ethnique. La diversité ne nous promet pas le paradis mais pourrait bien nous plonger en enfer. Tant que les efforts ne seront demandés qu'à la majorité, réputée seule responsable des problèmes, tandis que les minorités bénéficient d'une incroyable impunité alors même que certains de leurs membres véhiculent intolérance, agressivité et racisme, la belle société « plurielle » n'existera pas. Voilà qu'à présent le pape lui-même somme le peuple français d'accueillir les crève-la-faim de la terre entière, dans un souci d'altruisme désintéressé. Mais les nations se gouvernent avec la raison et non avec la compassion. Il y a des centaines de millions de miséreux sur Terre. La France ne peut les héberger tous. Il est dommage que l'Eglise ait choisi de soutenir la société « pluriethnique » et « multiculturelle » qu'on veut nous imposer.
Conclusion
J'invite le président de la République, M. Sarkozy, à prendre les mesures qui s'imposent. Il devrait, dans un discours à la nation, rappeler quelques vérités : les autorités religieuses ont pour fonction d'apporter le réconfort spirituel à leurs croyants, la politique n'est point leur affaire, elles ne doivent en aucun cas s'en mêler. La laïcité française, c'est le droit pour tout un chacun de croire ou de ne pas croire. C'est le droit pour toute communauté religieuse de construire à ses frais, sans aide publique ni subvention provenant de pays qui ne respecteraient pas la liberté religieuse (comme l'Arabie Saoudite…), des lieux de culte et de pratiquer sa religion dans la discrétion, sans troubler l'ordre public (par exemple sans bloquer la circulation dans une rue…). Et c'est tout. Les autorités religieuses n'ont en aucun cas le droit de peser sur la vie collective de la nation, par exemple en indiquant les politiques qui devraient être menées. Elles n'ont pas le droit de se dresser contre les lois démocratiquement votées par les représentants du peuple souverain. Ceci est aussi valable pour certains partis politiques ou associations qui par exemple exigent une stricte application des lois antiracistes mais qui dans le même temps invitent les citoyens à ne pas respecter la loi lorsqu'il est question d'expulser des clandestins. Je rappelle que dans un état de droit, on doit respecter toutes les lois, on n'a pas le droit de choisir seulement celles qui n'offensent pas sa propre sensibilité. L'Eglise catholique n'a pas respecté la laïcité. Le président devrait donc renoncer à sa charge de chanoine de Saint-Jean-de-Latran. Et l'Etat est en droit d'interdire le culte dans les églises et cathédrales construites avant 1905, car ces monuments sont propriété du peuple français. Le temps que le clergé catholique apprenne à ne plus sortir du rôle qui est le sien dans un pays laïc.
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