Nationaliste Social et Ethniciste

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Emeutes: mais pourquoi se plaindre?

Depuis plusieurs jours maintenant, la France bruisse d'une rumeur quelque peu fantaisiste: des émeutes urbaines se dérouleraient dans les banlieues de notre beau pays. Personnellement, j'ai bien du mal à le croire, je l'avoue. Comment est-ce Dieu possible? Dans un pays si paisible, si ouvert, si tolérant, on a du mal à croire que de tels accès de violence puissent exister. La France a accueilli des gens de partout, des Asiatiques, des Maghrébins, des Subsahariens, des Européens de l'est, des Turcs, des Tchétchènes et j'en passe. La France a demandé pardon pour tout, pour l'esclavage, pour la colonisation, pour les rafles du régime pétainiste. La France déploie des efforts (et des moyens) considérables pour promouvoir la "diversité" à tous les étages, au gouvernement, dans la fonction publique, dans les entreprises, dans le monde du spectacle, dans la publicité. Pas un spot, pas une affiche qui ne nous rappelle que ce pays doit sa prospérité et l'essentiel de sa civilisation aux racisés. Les racistes - il en reste une poignée hélas - sont condamnés, ostracisés, anathématisés avec la plus grande fermeté, et c'est heureux. Tout n'est que mélange, métissage, "créolisation", bref, une harmonieuse cohabitation multiculturelle. Certes, les blancs restent, d'un point de vue socio-économique, un peu mieux lotis que les racisés... Mais cela est compensé par la supériorité morale dont disposent ces derniers, descendants, faut-il le rappeler, d'esclaves et de colonisés. Le blanc est peut-être plus riche, mais il est coupable, alors que le racisé est une victime, et dans la hiérarchie symbolique, l'avantage est au second. Et être une victime, ça a des avantages, ça procure des excuses. Mamadou est au chômage? C'est à cause des blancs qui refusent de l'embaucher. Ilyès est devenu dealer? Mais le pauvre, il ne trouvait pas de travail à hauteur de ses qualifications. Ah, si seulement on en finissait avec cet odieux "privilège blanc" qui empoisonne notre société et qui la prive de tant de merveilleux talents... 

 

Certains de mes lecteurs savent sans doute ce que l'on appelle la Schadenfreude, un terme allemand qu'on pourrait traduire par "joie mauvaise" ou "joie malsaine". Il s'agit de se réjouir du malheur d'autrui. Eh bien oui, je le confesse, depuis quelques jours je me vautre sans vergogne dans la Schadenfreude. A tous ces bienpensants bobos, écolo-diversitaires, immigrationnistes, mélenchonistes, gauchistes, mais aussi aux droitards libéraux et atlantistes, admirateurs du "modèle américain", je dis ceci: vous avez voulu une société "post-nationale", une société multiraciale, multiconfessionnelle, multiculturelle? Eh bien vous l'avez. Seulement, pour paraphraser la fourmi de la fable, "à présent, dansez", au son des tirs de mortiers et à la lueur des feux de poubelle. Vous l'avez, votre diversité, il vous faut également accepter la chienlit qui va avec. Ces émeutes sont des émeutes raciales, et je pèse mes mots. Les "jeunes" qui cassent, pillent et caillassent les policiers aussi bien que les pompiers sont tous des racisés, des Subsahariens et des Maghrébins principalement. C'est la racaille issue de l'immigration. On l'avait presque oubliée, depuis les émeutes de 2005, mais elle est toujours là, plus nombreuse et plus entreprenante, nourrie aux mamelles du trafic de drogue, de l'islam et de la haine de la vraie France. Ces émeutes arrivent un peu tôt d'ailleurs: normalement, on alterne attentats et émeutes tous les dix ans. Il y avait eu les attentats islamistes de 1995, les émeutes urbaines de 2005, les attentats islamistes de 2015. Les prochaines émeutes urbaines auraient dû être programmées pour 2025... Mais c'est une nouvelle génération qui ne respecte rien, pas même le rythme normal des "émotions" des minorités opprimées.

 

Est-il besoin d'évoquer le prétexte à ce déchaînement de violence? Un jeune Breton, Naël (dont le prénom a mystérieusement changé d'orthographe depuis), aurait été victime d'une bavure policière, un agent des forces de l'ordre lui ayant tiré dessus suite à un refus d'obtempérer. Tout de même! Mais qu'est-ce qui a bien pu se passer dans la tête de ce policier? Griller un feu rouge en Mercedes, ce n'est pas un problème, enfin. Conduire sans permis à 17 ans, c'est une broutille. Redémarrer le véhicule alors qu'un policier vous tient en joue, c'est un réflexe normal, tout le monde aurait fait cela, tout le monde. D'ailleurs, nos politiques ne s'y sont pas trompés, et tous ont condamné l' "injustifiable" usage de la force par ce policier. Les députés ont observé une minute de silence. Il faut le savoir: pour obtenir l'hommage des guignols qui nous gouvernent, n'allez pas risquer votre vie sous l'uniforme, n'essayez pas de servir ce pays, ne tentez pas d'écrire un livre ou de devenir artiste. Non, contentez-vous d'être fils d'immigré et de vous faire tuer par les forces de l'ordre alors que vous êtes en infraction... La palme est revenue à la dinde grotesque qui a été mise au perchoir de l'Assemblée: "La révolte peut être légitime, mais pas les exactions". Avec de tels serviteurs, la France a-t-elle encore besoin d'ennemis? Mais de quelle "révolte" parle donc cette idiote? Toutes les semaines, un jeune est blessé ou tué dans les quartiers nord de Marseille lors de règlements de compte entre trafiquants de drogue. Est-ce que cela a jamais provoqué la moindre émeute? Est-ce que les mères des victimes ont été portées en triomphe au milieu de la foule comme l'a été la mère de Naël? Mais peut-être que depuis quelques jours, ce sont les trafiquants eux-mêmes qui sont à la manoeuvre dans ces émeutes "de la colère" et "pour la justice". Qui sait? Peut-être une manière de mettre la pression sur la police pour qu'elle cesse d'entraver le business dans certains quartiers...  

 

Autre motif de satisfaction: une cagnotte internet lancée pour la famille du policier auteur du coup de feu a de loin dépassé une autre cagnotte initiée celle-là pour la mère de Naël, l'ange injustement foudroyé par la cruauté des hommes en uniforme. Cela a provoqué l'ire du bon Olivier Faure, le patron du Parti Socialiste, une formation de gauche peu connue aujourd'hui mais qui aurait fourni deux présidents à la V° République. Olivier Faure a qualifié de "cagnotte de la honte" la collecte effectuée en faveur de la famille du policier, et a exigé de la plateforme qui gère les cagnottes qu'elle la ferme au plus vite [1]. Je m'adresse ici aux membres des forces de police: je vous invite à cesser de protéger Olivier Faure, sa femme, ses enfants, ses biens, ainsi que tous les députés NUPES et leurs familles. Ces gens sont manifestement du côté de la racaille, alors pourquoi risquer votre peau pour assurer leur tranquillité? Encore de quoi alimenter cette satanée Schadenfreude: la mésaventure de ce député du pôle "racisé-indigéniste" de La France Islamogauchiste (LFI), Carlos Martens Bilongo qui, malgré son prénom digne des cartels colombiens, a été proprement menacé et bousculé par des "jeunes Français issus de la diversité" alors même qu'il venait leur témoigner sa sympathie [2]. Mais quel régal! Quel bonheur de voir ces petits gauchistes si prompts à scander "tout le monde déteste la police" se retrouver confrontés à l'insolence et aux incivilités qu'ils encouragent depuis si longtemps. Martens Bilongo semble s'en être tiré quasiment indemne. Cela en serait presque contrariant... 

 

Disons un mot également de ce qui est arrivé au maire de L'Haÿ-les-Roses (commune de 30 000 habitants dans le Val-de-Marne), Vincent Jeanbrun. Pendant que ce monsieur était à la mairie, une voiture-bélier chargée de produits incendiaires a été jetée sur sa maison, où se trouvaient son épouse et ses deux jeunes enfants. Ces derniers ont dû fuir le domicile familial la peur au ventre, en passant par un escabeau placé dans le jardin. La mère de famille s'est brisée le genou lors de cette évasion rocambolesque qu'on croirait sortie d'un film hollywoodien... Mais c'est la triste réalité [3]. Il faut condamner avec la plus extrême rigueur ce type d'attentat, car c'en est un. Il convient toutefois de rappeler aussi que depuis des décennies, trop de maires ont conclu un pacte avec le diable islamo-communautariste. J'ignore si c'était le cas de M. Jeanbrun et je me garderais bien d'accuser sans preuve. En revanche, il est notoire que beaucoup de maires achètent la paix sociale en pactisant avec les "grands frères", en fermant les yeux sur les trafics, en accordant de l'argent public à des officines islamistes. Tous ces maires encouragent et développent le communautarisme en légitimant les représentants communautaires avec lesquels ils concluent des alliances. Et à l'heure de se faire élire, nombre d'édiles ne sont pas trop regardants sur les méthodes utilisées par leur entourage pour capter le vote des communautés immigrées, en particulier musulmanes, qui sont de plus en plus faiseuses de rois dans la plupart des villes, Grand Remplacement oblige. Il faut rappeler à M. Jeanbrun, membre de Les Républicains, qu'il appartient au parti d'un certain Nicolas Sarkozy, lequel déclarait durant sa présidence que "nous devions relever le défi du métissage car nous n'avions pas le choix". Eh bien elle est là, sous nos yeux, la société métissée. Elle est belle, n'est-ce pas Nicolas?

 

Certains beaux esprits de gauche vous diront que tout cela est la faute du vilain capitalisme ultralibéral. Ils n'ont pas complètement tort, mais ils oublient un détail: l'ouverture des frontières sert aussi le capitalisme ultralibéral. Quand l'Ocean Viking secourt des migrants en Méditerranée, quand Cédric Herrou aide des clandestins à passer la frontière franco-italienne, quand les associations et les célébrités prennent fait et cause pour les sans-papiers ou les soi-disant réfugiés, tous ces prétendus défenseurs des droits de l'homme favorisent en réalité la concurrence entre les travailleurs. Ils servent la soupe au patronat dont ils sont les idiots utiles. Quant aux droitards qui feignent de combattre l'immigration tout en voulant accroître outrancièrement la liberté entrepreneuriale, il faudra un jour leur expliquer l'incohérence pathétique de leur position. L'entrepreneur veut de la main-d'oeuvre docile et bon marché, et dans un certain nombre de secteurs où la qualification requise n'est pas trop élevée, les immigrés constituent un réservoir de travailleurs très intéressant. Disons-le une bonne fois pour toutes: on ne peut pas être néolibéral et anti-immigration, et je trouve que c'est là une des limites du discours zemmourien comme je l'ai déjà fait observer ailleurs. La régulation de l'immigration et le contrôle des frontières sont liés à une régulation de l'économie et à un contrôle des échanges et des capitaux. Cela ne veut pas dire qu'il faut vivre en autarcie dans un système où tous les moyens de production seraient collectivisés. Cela veut dire qu'il faut encadrer le capitalisme, laisser la loi du marché agir dans un certain nombre de secteurs, mais aussi laisser l'Etat contrôler un certain nombre de secteurs stratégiques par le biais d'entreprises publiques et de monopoles.

 

Et après? D'ici quelques jours, les émeutes vont se calmer, les vacances vont arriver, et les bouchons sur l'autoroute vont bien vite chasser des esprits le souvenir de Naël et de l'agent qui lui a tiré dessus. Néanmoins, cette affaire laissera un goût amer, comme une étape supplémentaire de la déliquescence d'un pays en proie à une submersion migratoire qui défigure la France et qui fait monter les tensions ethniques. Je le redis ici: Français de souche ou issus de l'immigration européenne, Maghrébins et Subsahariens ne peuvent pas cohabiter durablement en paix sur la terre de France. Aux différences ethniques et religieuses s'ajoute généralement le contentieux colonial. Il semblerait d'ailleurs que le gouvernement algérien ne se soit pas privé de souffler sur les braises de l'émeute [4]. Beaucoup d'immigrés constituent aujourd'hui une cinquième colonne que les pays d'origine cherchent à contrôler pour servir leurs propres intérêts. Je ne dis pas qu'ils y parviennent toujours, mais ils essaient, et rien que cela est un problème. Aux naïfs qui rêvent d'une réconciliation des communautés autour des valeurs viriles, ou à ceux qui croient à un retour de la fée assimilation, je le répète: nous, les blancs de culture européenne, ne pouvons pas vivre avec les racisés. Ni aujourd'hui, ni demain, ni dans deux siècles. Ce pays est trop petit, ce sera eux ou nous. C'est triste, mais je ne pense pas qu'on échappera, tôt ou tard, à une forme de nettoyage ethnique. Et plus le temps passe, plus le Grand Remplacement se précise, moins les blancs, qui constituent une population vieillissante et peu féconde, ont de chance de l'emporter. Faut-il pour autant désespérer? Faut-il faire comme ces starlettes de la fachosphère et émigrer, qui en Espagne, qui au Texas, qui en Roumanie?

 

L'histoire connaît parfois des retournements spectaculaires. Nous autres, nationalistes français, nous qui refusons d'être les dindons de la farce macronienne et les petits blancs repentants chers à l'indigénisme mélenchonien, vivons une période difficile, c'est indéniable. Nous voyons notre pays devenir méconnaissable, un cloaque infâme, croisement improbable des sociétés arabes gangrenées par l'islamisme et du tiers-monde arriéré et violent de l'Afrique subsaharienne. Nous-même devenons étrangers, la "minorité visible" dans certains quartiers, j'en fais moi-même la douloureuse expérience. Garder l'espoir dans un tel contexte n'est pas facile, c'est certain. Et pourtant, il faut résister. S'organiser, s'armer, se préparer, chaque fois que c'est possible. D'abord pour se défendre, car on voit bien que les violences urbaines migrent des grandes métropoles pour se diffuser dans les villes moyennes, et demain dans les petites villes. Peut-être un jour, acculés, nous faudra-t-il riposter, lorsque les derniers vestiges de l'Etat se retourneront contre nous. Il ne faut pas se bercer d'illusion: face à la montée des tensions, les lâches qui nous gouvernent vont choisir la solution de facilité, c'est-à-dire qu'ils vont appliquer à la police nationale la recette de la diversité, en recrutant massivement des racisés. Si LFI était au pouvoir, les dealers seraient chargés officiellement de remplacer la police, n'en doutons pas! Dans l'armée, il y a déjà près de 20 % de musulmans. Certains s'imaginent qu'il faudrait déployer l'armée dans les banlieues. Mais on pourrait être surpris du nombre de militaires susceptibles de passer du côté des émeutiers... Nous glissons lentement mais surement vers la guerre civile. Longtemps, j'ai pensé que nous étions au bord du gouffre et qu'un événement brutal mettrait le feu aux poudres, mais je me suis trompé. En réalité, la descente en enfer se fait en pente douce, nous marchons progressivement vers l'abîme, et certains croient même réaliser une ascension vers le paradis! Le réveil risque d'être difficile. Et rien ne sera oublié, rien ne sera pardonné.

 

[1] C'est Public Sénat qui le dit. Je remercie les personnes qui ont alimenté la cagnotte pour le policier. Faire enrager des députés LFI ou écologistes est un plaisir trop rare. 

 

[2] Voir la vidéo de l'altercation sur le site du Figaro. Et comme ils sont impayables à LFI, le parti, ou le mouvement, ou la secte, on ne sait pas très bien ce que c'est, a refusé de réagir à l'agression. Si un député RN était venu tancer la racaille qu'on voit sur les images, LFI aurait salué l'usage de la violence, "juste et légitime"...

 

[3] Les faits sont relatés dans cet article de Ouest France. 

 

[4] C'est ce qu'affirme un article tiré d'un site dont la fiabilité et le sérieux restent toutefois à établir. 



03/07/2023
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