Nationaliste Social et Ethniciste

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Chronique de la France islamophobe

Bienvenue, en direct de la France « moisie », la France nauséabonde, en un mot, pour oser une rime audacieuse, la France « rance » ! La France des beaufs, des réactionnaires, ceux qui ont la faiblesse d’aimer leur patrie, qui boivent encore du vin et de la bière (avec modération tout de même), ceux qui osent manger du cochon, et qui le disent, contrairement à Cécile Duflot qui n’a pas le droit, tenez-vous bien, de dire qu’elle aime le confit de porc aux pommes de terre (1). Apparemment, tout ce qui sent le terroir est interdit chez les hypocrites d’Europe Ecologie-les Verts. Ou alors… est-ce dû à la couleur ? Il ne faut pas faire fuir l’électeur amateur de hallal, c’est ça ? Dans la France « moisie », les choses ont le mérite d’être clair : on est islamophobe et on assume. Et on a de bonnes raisons de l’être. Florilège de l’islamiquement incorrect.

 

L’affaire Marine Le Pen

Le scandale est arrivé comme toujours par le Front National, un des partis les plus populaires de la France nauséabonde, et le plus honni de la « vraie » France, généreuse, tolérante et ouverte. C’est Marine Le Pen, digne fille de son père, qui est montée au front, si j’ose dire, et qui a tiré la première salve. Et qu’a-t-elle déclaré de si odieux la Walkyrie frontiste ? Une banalité étonnante, un fait connu de tous les citoyens un tant soit peu informés. Car Riposte Laïque dénonce, vidéos à l’appui, cette situation depuis plusieurs mois. Le professeur des universités Daniel Lefeuvre l’a évoquée dans l’émission C dans l’air (et aucune personnalité présente ne l’a contredit). Ce fait incroyable, c’est l’existence, dans différentes villes de France, de prières musulmanes publiques. C’est la permission tacite donnée aux musulmans de bloquer quelques rues le vendredi à l’heure de la grande prière, au mépris des lois et des règlements sur la circulation. Marine Le Pen a qualifié ces comportements d’« occupation illégale » de l’espace public, ce qui est la stricte vérité. Là encore, beaucoup de gens se trompent : le problème n’est pas que Marine Le Pen l’ait dit, le problème est que ce soit vrai… Contrairement à ce que j’entends, elle n’a pas comparé expressément cette attitude à l’Occupation allemande, mais elle a fait observer à « ceux qui aiment parler de l’Occupation » (l’allemande) qu’ils pourraient aussi parler des occupations de rue par les prières islamiques. Nous sommes là dans la subtilité de la langue française, mais dans cette circonstance, les mots ne sont pas anodins, pas plus que la construction grammaticale de la phrase. Il faut éviter les raccourcis réducteurs et les interprétations hâtives, si promptes à conforter l’image détestable du FN. Mme Le Pen inquiète, il fallait bien l’attaquer pour tenter de freiner son ascension. Ses propos n’ont rien de très nouveau. Elle n’a pas procédé à une comparaison stricto sensu, mais à une association d’idées en jouant sur la variation du mot « occupation ». La rhétorique politique manie fréquemment cet abus de langage : les défenseurs de sans-papiers qui parlent de « rafles » et de « pratiques rappelant les heures sombres » tiennent des propos plus graves et plus ignominieux, car ils insultent l’Etat et remettent en cause le bien-fondé de l’action policière qui vise simplement à appliquer des lois adoptées dans un cadre démocratique, expression de la volonté nationale. Marine Le Pen occupe l’espace politique libre. Personne ne dénonce ces prières publiques. Mieux, Daniel Vaillant, maire du XVIII° arrondissement de Paris, les justifie ! Il nous explique que les « pauvres » musulmans n’ont pas assez de lieux de culte. Même son de cloche (si je puis dire) ce vendredi 17 décembre au journal national de France 3 : les Croyants se sont exprimés pour se plaindre, pour expliquer qu’ils n’ont pas le choix, etc… Le présentateur avait annoncé par ailleurs que les riverains avaient été interrogés, mais on n’aura entendu que les musulmans pleurnicher. L’intervention de Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris, fut également savoureuse : l’homme a reconnu à demi-mot que la France subissait une immigration massive de musulmans avant de plaider pour une aide de l’Etat (après avoir dit par inadvertance « les états », islamiques sans doute, lapsus révélateur…) dans la construction de mosquées. Voilà quelques années que des musulmans prétendent réinterpréter la législation laïque française dans un sens qui leur est étrangement favorable. Il faut avouer qu’ils ne manquent pas d’un certain culot.

 

Quelques jours auparavant, alors que la polémique battait son plein, un reportage de France 2 éloquent fut diffusé : on nous rappela qu’il y a environ « 5 à 6 millions » de musulmans sur le sol français ; il fut également précisé que les deux-tiers seraient pratiquants ; le journaliste ajouta que ce nombre serait supérieur à celui des catholiques pratiquants. En d’autres termes, l’islam serait (conditionnel de rigueur) déjà la première religion de France en nombre de pratiquants. Mais je maintiens le conditionnel car j’ai lu dans un autre article que « 49 % des musulmans ne mettent jamais les pieds dans une mosquée ». Qui dit vrai ? Qui ment ? Il est probable que les autorités musulmanes gonflent à dessein les effectifs de leurs ouailles, afin de faire pression sur les autorités tout en faisant miroiter aux yeux des politiques peu scrupuleux la possibilité d’acquérir une clientèle électorale. De même, les islamophobes ont intérêt à exagérer le péril pour se rallier toujours plus de citoyens inquiets. D’un autre côté, les adeptes des discours sur la « diversité harmonieuse » et l’« intégration globalement réussie » des populations immigrées ont plutôt tendance à minimiser la pratique musulmane, cherchant ainsi à prouver que les Français de culture islamique adhèrent progressivement à un modèle de société laïcisée. Pourtant même s’il n’y a « que » 50 % de pratiquants dans les populations de tradition musulmane et qu’on s’en tient aux chiffres susdits, cela représente tout de même 2 à 3 millions de pratiquants. Or, il y a quelques années, le nombre de catholiques pratiquants étaient estimés autour de 3 millions. Pour peu que ce nombre ait fléchi, ce qui, au vu de l’âge moyen dans les églises, ne serait guère étonnant, il n’est pas impossible que les musulmans pratiquants soient désormais plus nombreux que les catholiques pratiquants. Les islamophiles patentés feraient bien de prendre en compte cette réalité. Vu l’évolution démographique, l’islam aura de toute façon la première place (en nombre de pratiquants) dans quelques années, s’il ne l’a pas déjà. Est-ce l’avenir que nous voulons pour notre pays ? Avons-nous seulement le choix entre des rues bloquées ou des chantiers de mosquée plus ou moins financés par de l’argent public ? Est-il envisageable que des quartiers entiers, des villes peut-être, ressemblent plus demain à l’Orient qu’à l’Occident ? Quel pays musulman tolérerait de la part des non-musulmans le quart de ce que la France supporte ? Dans notre pays, les musulmans sont en effet en butte à une islamophobie grandissante. Il faut pourtant rappeler que cette stigmatisation et cette hostilité sont sans commune mesure avec ce que subissent les non-musulmans en terre d’islam, en particulier les chrétiens. Agressions, pressions, discriminations, entraves à la liberté de culte, violence confinant parfois au pogrom, voilà le lot de nombreux chrétiens dans les pays à majorité islamique. Comment ? Ah, j’entends qu’on me réclame des exemples concrets… Allons-y : au Pakistan, des chrétiens poursuivis pour « blasphème » le plus souvent sans fondement et sur dénonciation calomnieuse ; en Algérie, des chrétiens poursuivis pour rupture du jeûne du ramadan (!) ; en Egypte, des chrétiens coptes manifestent après le refus d’autoriser la construction d’une église, et pourtant ce n’est pas un pays intégriste (en Arabie Saoudite, ce serait impossible, même de le demander…). Si vous voulez d’autres exemples, cherchez, vous ne manquerez pas de trouver.

 

Islamisation douce dans une ville tranquille

J’avais déjà évoqué les problèmes rencontrés dans le collège « tranquille » d’une ville de province (2). Cet établissement scolaire était confronté à des difficultés avec des élèves, dont plusieurs se réclamant de l’islam. Il semblerait pourtant que la direction ait décidé de favoriser le communautarisme naissant dont on sait les conséquences néfastes : d’ici peu, la cantine de ce collège (public) proposera de la viande hallal. Raison invoquée ? Un fournisseur vient de s’installer dans la ville et il proposerait des prix intéressants. Je ne puis imaginer qu’une telle décision ait été prise sans l’aval du Conseil d’Administration (CA). Apparemment, il n’y a guère eu de résistance pour s’opposer à cette mesure communautariste qui porte atteinte à la laïcité en permettant aux prescriptions alimentaires d’ordre religieux de faire irruption dans un établissement public. Que l’on indique dans les menus s’il y a du porc, soit. Que l’on offre un plat alternatif sans porc passe encore. Mais que l’on supprime le porc des menus comme le font certains établissements, ou que l’on propose de la viande hallal (quand on ne l’impose pas), c’est inadmissible. De plus, le collège donne de fait des gages à des élèves qui se disent musulmans et dont certains sont déjà « connus des services de police » pour tenter d’imposer leur loi dans leur quartier. Une loi des caïds qui passe par le racket des enfants de l’école primaire et par l’intimidation des personnes âgées. Et je n’invente rien, des procédures judiciaires sont en cours. Evidemment, il n’y a pas eu de blessés ni de morts, alors les médias sont muets. Et M. le maire n’a évidemment pas très envie que cela se sache, d’autant que cette situation est la conséquence de sa politique urbanistique : pour permettre les rénovations urbaines dans la ZUP (louable décision), des habitants de cette dernière ont été relogés dans d’autres quartiers. Résultat, un de ces quartiers est en train de se dégrader à grande vitesse suite à l’apparition d’une bande composée d’adolescents (des collégiens pour la plupart) d’origine maghrébine et subsaharienne. Les mêmes qui se vantent au collège d’être musulmans et qui déclarent à qui veut l’entendre leur mépris pour la France et les valeurs républicaines. Je tiens ces informations d’un témoin direct de la situation, et je puis assurer qu’il ne s’agit pas de rumeurs médisantes mais de faits avérés. Il n’est pas nécessaire de donner le nom de la ville ou du collège, car cette situation n’est pas unique en France, et n’est, hélas, qu’un exemple parmi d’autres. Un exemple emblématique de ce qui se passe en ce moment dans la France « multiculturelle » et « riche de sa diversité » de 2010 (et bientôt 2011).

 

Alors certains disent : « l’islamisation ? Un fantasme xénophobe qui sert le FN ! La vérité est que l’intégration fonctionne bien, le métissage progresse, la France assume de plus en plus sa diversité. Il y a des résistances, mais il y en a toujours eu, et l’histoire donnera tort aux réactionnaires fascisants. » Je confesse mon scepticisme. Le métissage ? Il s’apparente de plus en plus à une acculturation des jeunes natifs qui se mettent à parler comme les « rebeus », ainsi que l’a dit Florent Pagny récemment, avant de se rétracter ce qui en dit long sur la liberté d’expression en France et sur le courage de l’homme. Il est remarquable de constater que dans les unions « mixtes », les enfants portent bien souvent un prénom issu de l’« autre » culture. C’était le cas pour tous les exemples que j’ai pu observer, qui ne sont certes pas légion, mais assez représentatifs. On peut en France s’appeler Pierre ou Philippe et être juif, mais quel musulman appelle son enfant Laurent ou Béatrice ? Je ne crois pas à ce métissage. La promotion permanente dont il bénéficie est trop voyante pour être honnête. Un autre discours assez répandu consiste à dire que s’attaquer aux musulmans, c’est oublier les « vrais problèmes » qui seraient, selon un article que j’ai lu récemment (3), « la dictature bancaire et financière ». D’abord, le terme « dictature » est un peu fort. Ensuite, le citoyen a une certaine liberté vis-à-vis de son banquier : on est libre, par exemple, de refuser d’acquérir des actions ou d’ouvrir un livret. Si on n’a pas très envie de voir son banquier (c’est mon cas), on l’évite, et s’il y a besoin, on prend rendez-vous. Même si le banquier n’est pas toujours correct, il rend au moins un service, celui de conserver de l’argent qui ne serait pas en sécurité s’il demeurait au domicile de chaque citoyen. Au contraire, il faut subir quotidiennement les musulmans ou s’exiler au fin fond du « rural profond », quelque part dans le Morvan ou dans le Limousin. On est contraint de voir les femmes enfoulardées et leur marmaille aussi abondante que mal élevée le plus souvent. On ne peut s’empêcher de croiser des barbus en gandourah ou de sympathiques immigrés portant le drapeau algérien sur leurs vêtements, quand encore ce dernier ne s’inscrit pas dans une carte de France. Quand on est enseignant, il faut supporter l’arrogance de ces gamins qui brandissent l’islam et leurs origines comme des armes, et qui s’étonnent ensuite d’avoir des rapports difficiles avec l’institution scolaire. Il faut recevoir les mères enfoulardées. La différence entre le banquier et le musulman, c’est qu’on n’est pas obligé de supporter le premier tous les jours, alors qu’il n’y a guère de moyens d’éviter le second, sauf à vivre terré chez soi. Ajoutons que l’on peut dénoncer le capitalisme libéral et le développement de l’islam. S’intéresser au problème de la mondialisation financière n’exclut pas de se pencher sur les questions de cohabitation interculturelle au plan national ou local.

 

J’espère que les collègues et certains parents monteront au créneau pour protester contre la distribution de viande hallal dans cette cantine. La laïcité, ce n’est pas la persécution des religions, mais c’est un devoir de neutralité. En proposant de la viande estampillée religieusement, ce collège fait le jeu d’un communautarisme grandissant qui pourtant est au cœur des problèmes auxquels les professeurs et l’administration sont confrontés. Pourquoi dans ces conditions alimenter (au sens propre !) la fracture entre musulmans et non-musulmans ? Car il est possible que cette viande hallal serve à distinguer les « bons » et les « mauvais » musulmans, et ouvre la porte à des pressions communautaristes sur les élèves d’origine maghrébine ou subsaharienne qui s’aviseraient de refuser le hallal. Il est triste de constater que l’école publique, par son aveuglement, favorise au final le repli communautaire qu’elle prétend combattre. A quand une circulaire du ministre Luc Châtel précisant que les prescriptions alimentaires, de quelque religion ou groupe que ce soit (on pourrait aussi parler des végétariens), n’ont pas leur place dans les cantines des établissements publics ? Après, chacun est libre d’accepter ou de refuser tel ou tel plat.

 

La riposte s’organise

Finalement, la loi interdisant le voile intégral devrait voir le jour. Je pensais qu’elle ne passerait pas, je me suis trompé. C’est tant mieux. Cette interdiction est un point de détail, mais elle est emblématique. Et révélatrice du fait que l’islam a du mal à s’acclimater d’une part, et que certains musulmans testent en permanence la République française, cherchant à aller toujours plus loin. Et tant qu’on ne leur fait pas obstacle, ils progressent insidieusement, à coup d’« accommodements raisonnables » négociés avec des élus plus prompts à acheter une illusoire paix sociale, d’ailleurs bien éphémère, qu’à défendre l’esprit laïc de la République française. L’erreur serait de croire que cette loi mettra un terme aux menées de l’islam radical et aux revendications de la communauté musulmane. Ce n’est qu’une étape du bras de fer qui va se poursuivre.

 

La prise de conscience se poursuit également, malgré les efforts de certains, à gauche comme à droite, pour faire taire ceux qui, de plus en plus nombreux, critiquent avec virulence les progrès de l’islam dans notre pays. Ce samedi 18 décembre, un certain nombre d’associations, dont Riposte Laïque, Résistance Républicaine et le Bloc identitaire, organisait à Paris des « Assises internationales sur l’islamisation de nos pays », autour de cette visibilité de plus en plus revendicative et agressive des musulmans en Europe. Je ne suis membre d’aucune de ces associations avec lesquelles j’ai des divergences, mais je soutiens cette initiative. Je la soutiens d’autant plus que beaucoup ont essayé de la faire interdire, notamment les officines antiracistes bien sûr, mais aussi le maire de Paris, Bertrand Delanoë et plusieurs élus socialistes ou radicaux de gauche. L’un d’eux justifie cette atteinte à la liberté d’expression dans une lettre d’intimidation envoyée à la société gérant la salle où se réunissent les Assises, afin d’obtenir l’annulation de la manifestation (4) :

"Je respecte la liberté d'expression [sans rire…], mais si rien ne l'a interdit, rien n'a obligé l'Espace Charenton à accepter d'accueillir cette manifestation d'extrême-droite [mensonge]. Je pense également que l'organisation de ces « assises » est hautement préjudiciable à l'image de notre arrondissement comme de votre établissement et est susceptible d'éventuels débordements, faisant à ce titre courir un risque de trouble à l'ordre public."

 

Ce type d’attitude ignoble porte un nom : chantage et menace. Pour certains partis et élus, la liberté d’opinion et d’expression est limitée par l’interdiction de professer des idées ou de tenir des propos, non point illégaux, mais qui leur déplaisent. Et ces gens se présentent comme les seuls véritables démocrates. Qui sont-ils pour dire aux citoyens ce qu’ils doivent penser et dire ? L’argument susdit a été repris par des élus qui ont écrit à la préfecture de Paris pour réclamer également l’interdiction des Assises. Cette méthode n’est pas sans rappeler les « heures sombres », soit dit en passant. La préfecture a dû se fendre d’un communiqué rappelant que la liberté d’expression est un droit fondamental dans notre pays et qu’elle va de pair avec la liberté de réunion (5). Cette situation est inouïe, et très inquiétante pour l’avenir. Qu’arrivera-t-il si un jour la préfecture cède aux pressions des élus et de la cabale antiraciste ? Souhaitons que ce jour n’arrive jamais, mais on peut être pessimiste.

 

Je n’ai pas besoin d’être en accord total avec Riposte Laïque ou le Bloc identitaire pour défendre leur droit à la parole dans notre pays où le mot Liberté a encore une signification. Je ne veux pas que la liberté d’expression soit sacrifiée sur l’autel de la bien-pensance, au nom du respect absolu des minorités. Des Maghrébins sifflent la Marseillaise et insultent le drapeau national. Des rappeurs insultent la France et ses policiers. Les Indignes de la République ont un discours qui confine au racisme et à l’« autochtophobie » (haine des autochtones). Alors nous revendiquons le droit de critiquer avec virulence l’islam, l’immigration, et les provocations de nombreux Maghrébins et Subsahariens.

 

Conclusion

La trêve des confiseurs s’annonce. L’occasion de se reposer et de fêter noël en famille, le plaisir d’offrir et de recevoir. Et de déguster les bons produits de notre tradition culinaire. Car nous sommes quelques uns à apprécier les produits du terroir. Alors, Français, de grâce, continuez à aimer notre belle gastronomie (classée au patrimoine de l’UNESCO !) et ne donnez pas dans l’hypocrisie anti-française comme les Duflot et consorts. Souhaitons également que moins de voitures brûlent lors de ces fêtes de fin d’année, car certains jeunes issus de l’immigration et « parfaitement intégrés » semblent ignorer la trêve des confiseurs. Volonté de gâcher les réjouissances et d’exprimer leur haine de la culture « souchienne », je gage.

 

(1) http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/pourquoi-cecile-duflot-n-a-t-elle-72746

 

(2) https://blog-nationaliste.blog4ever.com/blog/lire-article-286920-1806028-un_college_tranquille.html

 

(3) http://resistancemusulmane.over-blog.com/article-message-aux-obsessionnels-paranoiaques-anti-islam-la-vraie-dictature-en-france-elle-est-bancaire-et-financiere-62809761.html

 

(4) http://prg-paris12.20minutes-blogs.fr/archive/2010/12/10/non-aux-assises-de-l-extreme-droite-dans-le-12e.html

 

(5) http://www.ripostelaique.com/Le-prefet-de-police-de-Paris.html



18/12/2010
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