Nationaliste Social et Ethniciste

Nationaliste Social et Ethniciste

Le combat reprend!

Après plusieurs semaines de réflexion, j'ai finalement décidé de reprendre la rédaction du blog. Pour plusieurs raisons. D'abord, j'ai dû me rendre à l'évidence : ce blog a une fonction d'exutoire, de défoulement, qui m'est devenue indispensable. Évoluant dans un milieu professionnel où il me faut taire mes intimes convictions (pour beaucoup de gens « de gauche », la liberté d'expression ne s'applique qu'à ceux qui pensent comme eux, les autres ne devraient pas exister), confronté à un entourage qui ne les partage pas forcément, vivant dans un espace urbain de plus en plus marqué par un communautarisme musulman envahissant et pour tout dire insupportable, j'ai besoin d'un espace d'expression, où je puisse développer mes idées et mes analyses. C'est sans doute très égoïste, mais c'est humain. Ensuite, je remercie les lecteurs qui se sont manifestés et qui m'ont prodigué des encouragements. Enfin, les beaux jours sont revenus et cela met un peu de baume au cœur. Cet hiver a été très dur, et fort déprimant. Les soucis personnels, qui n'ont pas leur place ici, y ont certes eu leur part. Mais surtout, j'ai eu le sentiment de vivre la fin d'un monde, d'assister à l'écroulement de ma civilisation. C'est très étonnant. Je n'aimais pas Charlie Hebdo. Le jour même du carnage, je n'ai rien ressenti de particulier, je n'ai pas pleuré comme certains, je m'en fichais un peu pour tout dire. Et je dois bien admettre que je n'avais pas pris la mesure de l'événement. Ce n'est que très progressivement que j'ai pris conscience de ce qui était arrivé. Et là, je me suis laissé happé par le désespoir. Le 11 janvier, il y avait foule dans ma petite ville de province, mais lorsque le représentant de l’État a entonné la Marseillaise, j'ai bien vu que tout le monde ne la chantait pas, loin de là. Beaucoup de gens n'étaient pas là pour défendre la République, la liberté d'expression, ou témoigner de l'unité de la nation. Beaucoup de gens présents étaient des bobos, des gauchistes, des libertaires venus protester contre l'assassinat de gens qui pensaient comme eux. Mais si Zemmour ou Le Pen avaient été tués à la place de Charb et cie, les mêmes auraient débouché le champagne. Et ce sont les mêmes qui ont hurlé (et qui parfois hurlent encore) au « crime fasciste » quand ils évoquent le décès de Clément Méric, mort accidentellement lors d'une rixe que lui et ses amis avaient bel et bien provoquée [1]. Quant aux musulmans, aussi nombreux que voyants dans ma commune, ils étaient tout simplement absents du défilé, parce que cela ne les concernait pas, diront certains, mais à mon avis parce qu'au fond la plupart d'entre eux approuvent l'action des frères Kouachi, ou tout au moins la comprennent, lui trouvent des justifications. En tout cas, j'ai l'impression qu'ils partagent largement l'idée que Charlie Hebdo les avait gravement offensés, et que caricaturer le Prophète ou se moquer des musulmans, c'est inadmissible, « ça se fait pas » pour reprendre une expression que j'ai entendue à plusieurs reprises dans la bouche de mes élèves musulmans. Par contre, exterminer les non-musulmans un peu partout dans le monde, apparemment, « ça se fait »... Et ça ne dérange pas plus que cela les musulmans de France.

 

Aussi n'ai-je pas interprété de manière très positive, au contraire d'autres, les manifestations tant vantées du mois de janvier. Paradoxalement, ces cortèges ont montré à mon sens la désunion nationale : les musulmans n'y étaient pas (à quelques exceptions près), les juifs en ont profité pour nous rappeler qu'ils sont les victimes éternelles d'un antisémitisme qui gangrène la société, beaucoup de gens se sont mis à ânonner « je suis Charlie » sans bien comprendre ce qu'impliquait cette phrase en terme de positionnement idéologique. Il faut se méfier de ces identifications hâtives et abusives, comme de l'unanimisme factice créé par l'émotion. J'ai eu bien du mal à voir dans ces rassemblements un « sursaut républicain ». D'autant que les bienpensants ont vite repris la main : « les musulmans sont regardés avec trop de méfiance » (on se demande pourquoi...), « la plupart de nos compatriotes musulmans sont attachés aux principes de la République » (comme ils l'ont montré en défilant par millions...), « la France doit enfin prendre en compte sa composante arabe et subsaharienne » (traduction libre : les Arabes et les Subsahariens n'ont pas voulu devenir Français [2], alors c'est à la France de devenir arabe et subsaharienne), « il faut apprendre à connaître l'islam » (c'est sûr que quand on connaît un peu l'histoire de l'islam et l'évolution politique récente du monde musulman, on est vachement rassuré...). Bref, vous l'aurez compris, les frères Kouachi et Coulibaly sont des monstres, mais ce sont nos monstres, produits par notre racisme, par notre xénophobie, notre islamophobie, les péchés de l'homme blanc occidental. Ah ! Ce satané « homme blanc occidental », si seulement on pouvait s'en débarrasser pour de bon ! Que le monde serait agréable, que nos rues seraient colorées, remplies de niqabs noirs, de femmes vêtues comme des sacs. J'ai toujours été hanté par la chute de l'empire romain. Eh bien, nous y voilà : irruption massive de populations étrangères (qui restent pourtant minoritaires, soulignons-le), essor d'une nouvelle religion particulièrement agressive et intolérante, déclin des institutions, étiolement de la culture jadis dominante confrontée à ses propres limites et contradictions, et soumises à la pression grandissante des cultures étrangères. Je le dis comme je le pense, les droits de l'homme creusent le tombeau de notre civilisation, parce qu'ils recèlent autant d'armes que nos ennemis utilisent habilement pour nous affaiblir et faire progresser leur propre civilisation obscurantiste. Les droits de l'homme n'ont de sens que dans un pays uni par une culture commune, dont l'ensemble de la population partage des codes, des comportements, une certaine éthique, bref une certaine conception de la vie en société, entretenue par la pression sociale à l'encontre des récalcitrants, mais, dans une société multiculturelle, ils ouvrent la porte à toutes les dérives sectaires et communautaires.

 

Je ne suis pas très optimiste pour l'avenir, mes lecteurs le savent. Malgré les attentats ou les horreurs commises par l’État islamique, l'islam continue à se répandre comme la peste, les voiles prolifèrent, les rayons hallal se remplissent, les mosquées sortent de terre. Qu'un prêtre catholique soit accusé de pédophilie, et une foule de catholiques se détourne aussitôt de l’Église, horrifiée. Qu'un musulman mitraille des journalistes désarmés, et le nombre de conversions bondit, les musulmanes se voilent un peu plus, les barbus en gandoura pullulent, les candidats au départ en Syrie se bousculent. Comprenne qui pourra. Pour une raison qui m'échappe, l'islam exerce une séduction perverse et redoutable. J'ignore si le combat contre la peste islamique peut encore être gagné. J'ai très peur de ce à quoi ressemblera la France dans cinquante ans et je regrette profondément de vivre à notre époque, d'être le témoin impuissant de la disparition d'un peuple. Mais, comme le dit Gandalf à Frodon dans le tome I du Seigneur des anneaux : « il ne nous appartient pas de choisir à quelle époque nous vivons, mais de décider comment utiliser le temps qui nous est imparti ». Eh bien, le temps qui m'est imparti sur cette Terre, je l'utiliserai à défendre de mon mieux la culture et l'identité de la France, à combattre sans rémission ceux qui veulent en faire un pays multiculturel de métis et d'apatrides, oublieux de ses racines et de son histoire. Je veux défendre l'héritage du Français « de souche », blanc et catholique. Nous n'avons pas à rougir de notre passé, de l’œuvre de nos pères, de nos églises et de nos châteaux, de nos villages et de nos vignobles. Cette France ringarde et rance aux dires de certains, je l'aime profondément et j'y suis très attaché. Je ne souhaite pas que la France de demain ressemble à la France d'hier, c'est d'ailleurs impossible : nous n'allons pas retourner dans les campagnes et vivre comme au début du siècle dernier, l’Église catholique ne retrouvera pas sa puissance d'antan (ce n'est d'ailleurs pas souhaitable). Simplement, souvenons-nous d'où nous venons. Construisons la France de demain en respectant le passé, la tradition, la culture nationale. Cessons de dénigrer notre histoire et de nous repentir. Soyons de notre temps, tout en restant nous-mêmes, en préservant ce que nos pères nous ont légué afin de le transmettre à nos enfants. Cela n'empêche nullement de lancer des grands chantiers, de développer les nouvelles technologies, de réindustrialiser le pays. Voilà un beau programme.

 

Cette défense de la France passe par la connaissance approfondie de son histoire, la définition d'un projet fédérateur pour notre nation, une réflexion sur la façon d'entretenir le sentiment national et le patriotisme, la liquidation de l'euro et de l'UE pour reconquérir notre souveraineté, une lutte implacable et inexpiable contre les ferments de division que sont le régionalisme, l'islam, le multiculturalisme, le métissage, l'immigration. On m'accusera naturellement de propager la haine. Pourtant, mon attitude et mon discours, qui peuvent paraître agressifs à première vue, sont avant tout défensifs. Je ne hais que ceux-là même qui haïssent la France, nient son identité, méprisent sa culture. Ce sont eux qui ont ouvert les hostilités, eux qui ont commencé sciemment, en invoquant la « modernité » ou « les droits de l'homme », à défaire ce que nos pères ont fait de la France au prix de mille sacrifices. On récolte ce que l'on sème. La France est sacrée pour moi, et pour d'autres. Ceux qui portent atteinte à son intégrité, à son unité, à sa souveraineté, ceux qui depuis des décennies souillent l'honneur du nom français doivent désormais s'attendre à en payer le prix. Ce combat, âpre et à l'issue indécise, paraît bien difficile à mener uniquement par la voie démocratique, malheureusement. La démocratie française est aujourd'hui « verrouillée » par la bienpensance au moyen d'une législation de plus en plus liberticide qui cherche à empêcher les patriotes et les nationalistes de s'exprimer. Les associations « anti-racistes », les collectifs divers et variés vous traînent devant les tribunaux dès qu'ils le peuvent. Et peu importe qu'au final l'accusé gagne son procès : il a été traîné dans la boue, traité de tous les noms, son honneur est définitivement entaché, et l'on peut faire confiance aux médias pour être très discrets sur l'issue des procès lorsqu'ils sont perdus par les officines bienpensantes. Il règne en France une ambiance délétère de chasse aux sorcières. Les accusations, que dis-je les anathèmes, souvent infondés fusent au moindre propos polémique. Vous êtes « raciste », « fasciste », « nazi », « pétainiste » et j'en passe dès que vous voulez critiquer l'immigration ou évoquer les méfaits de l'islam. La République française protège trop ceux-là mêmes qui bafouent et avilissent la France. Cette atmosphère est étouffante. A trop vouloir mettre le couvercle sur l'eau qui bout, on s'expose un jour ou l'autre à une déflagration aux conséquences incalculables. Dans ce contexte, il n'est peut-être pas inutile que les patriotes se procurent des armes. Cela pourrait servir, car il n'est pas certain qu'on fera l'économie d'une guerre civile. J'entends déjà les cris d'orfraie des « défenseurs des droits de l'homme », aussi courageux en parole que pusillanimes en acte. Ma foi, il y en a eu d'autres, des guerres civiles. Le cynisme le plus absolu devrait même nous inciter à nous demander si la violence ne serait pas la meilleure des publicités pour notre cause. Après tout, l'islam s'affiche plus que jamais, ostensible et conquérant, depuis les attentats de janvier. Tenez, un tout nouveau marchand de foulards islamiques et de gandouras s'est installé pas loin de chez moi. On parle souvent des femmes, mais je vois de plus en plus d'hommes, et des jeunes, qui se promènent en « tenue islamique ». Il est plus que temps que la peur change de camp.

 

Je serais tenté de dire que je hais les musulmans, mais l'honnêteté m'oblige à dire que le mot « haine » est encore trop faible pour exprimer combien j'exècre cette détestable engeance qui pollue notre beau pays. Le combat contre les musulmans doit être mené sans état d'âme. D'abord, les musulmans ne sont pas nos compatriotes. Un musulman français, ça n'existe pas. Je veux dire par là un vrai Français, fier de l'héritage et de la culture de notre pays, car il est vrai que des gouvernements aussi lâches qu'incompétents ont accordé notre nationalité à n'importe qui depuis longtemps déjà. Ensuite, les musulmans ne sont pas nos frères car ils ne nous considèrent pas comme leurs égaux, à peine comme des êtres humains. J'entends souvent qu'on reproche aux Français de ne pas être assez « fraternels » avec les musulmans, mais les donneurs de leçon se sont-ils déjà demandés si les musulmans avaient envie d'être nos frères ? Partout dans le monde, dans les pays à majorité musulmane, les chrétiens, les athées, tous les non-musulmans sont brimés, persécutés, pourchassés, massacrés. Pourquoi devrions-nous nous conduire avec humanité à l'égard de ces gens-là ? Méritent-ils autre chose que notre mépris et notre haine ? Pourquoi vouloir intégrer à tout prix une population qui met des barrières (vestimentaires, alimentaires) entre elle et les autres ? Pourquoi tendre la main à des gens qui cultivent l'entre-soi ? Le communautarisme ethnique et religieux qui sévit en France n'est pas une fatalité. Les populations qui le pratiquent le font en connaissance de cause, par refus de se franciser. Par ailleurs, et au risque de passer pour un monstre sans cœur, il ne faut pas compter sur moi pour verser une larme lorsque des bateaux remplis de migrants musulmans coulent en Méditerranée. Je redoute bien plutôt ceux que nous avons la faiblesse de secourir. D'autre part, je suis favorable aux statistiques ethniques et religieuses. Tout le monde en ce moment critique Robert Ménard, le maire de Béziers « soutenu par le Front National » (je me demande pourquoi cet élément est systématiquement rappelé), pour avoir compté les enfants de culture musulmane. Arrêtons l'hypocrisie : beaucoup de maires font en douce ce que M. Ménard a eu la sottise de faire au grand jour. Quand vous avez une forte communauté musulmane, il vaut mieux avoir une idée de son poids dans la commune... ne serait-ce que pour prévoir les concessions nécessaires à son ralliement lors des élections. Quant à moi, je suis très curieux de savoir combien il y a de musulmans en France : certains disent 4 millions, d'autres 6 millions, ça monte parfois à 8 millions. Au nom de quoi n'aurions-nous pas le droit de savoir ? Au nom des « valeurs républicaines » ? Allons donc ! Cela fait belle lurette que tout le monde s'en fiche, des « valeurs républicaines ». Quand vous avez une Taubira ministre, vous pouvez dire que la République est morte.

 

A ceux qui seraient tentés de penser, non sans raison apparente, que je verse dans la démence haineuse et paranoïaque, je voudrais dire deux choses. D'abord, il faut être très naïf ou un fieffé crétin pour aimer et défendre ses ennemis. Je rappelle aux attendris que leurs amis musulmans voilent leurs femmes et leurs filles parce que, pour eux, les femmes non-voilées sont des êtres impudiques, sans doute de mauvaise vie, bref, des catins pour le dire poliment. Je rappelle aux islamophiles patentés que le fait de consommer du porc ou de ne pas manger hallal fait d'eux des impurs aux yeux de leurs « amis » musulmans. Et je pourrais continuer ainsi. Ensuite, j'aimerais rappeler une anecdote toute récente qui m'a frappé et qui a, je le crois, valeur de parabole. Sur l'un des innombrables bateaux de migrants qui, ces temps-ci, envahissent la Méditerranée pour déverser sur nos côtes des flots de migrants inassimilables, la dernière heure semblait proche. Alors, les gens se mirent à prier. Eh bien, certains migrants commencèrent à en balancer d'autres par dessus bord en proclamant que « sur ce bateau, on ne prie qu'Allah ! ». Vous l'aurez compris, les victimes étaient chrétiennes, et les bourreaux étaient musulmans. Quinze d'entre eux font l'objet de poursuites judiciaires en Italie [3]. Tout cela pour dire que, même aux portes de l'enfer, le musulman reste intolérant, haineux, une menace pour les autres. Les qualificatifs me manquent pour désigner ceux qui défendent ces gens-là.

 

Alors, gauchiste immigrationniste, bobo écolo-diversitaire, cadre socialo made in Sciences po, militant antiraciste, partisan convaincu du multiculturalisme, souviens-toi : la France aussi est un rafiot à la dérive, et il y a des musulmans dessus...

 

Religio islamica delenda est

 

[1] Affaire abordée dans cet article.

 

[2] On glose beaucoup sur le décret Crémieux qui accorda la pleine citoyenneté française aux juifs d'Algérie, mais on oublie que ledit décret proposait la même chose aux musulmans qui refusèrent, parce qu'être citoyen français impliquait l'abandon du droit musulman...

Quant aux pays d'Afrique subsaharienne, je crois me rappeler que la Constitution de la V° République leur offrait de devenir des départements français ou d'intégrer une Communauté française (une structure fédérale accordant une large autonomie aux États membres), offres qu'ils ont rejetées. Il est trop tard pour s'en mordre les doigts.

 

[3] http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/04/17/des-migrants-chretiens-auraient-ete-jetes-a-la-mer-par-des-musulmans-au-large-de-l-italie_4617899_3214.html



06/05/2015
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